Joseph Arthur Ankrah
| Joseph Arthur Ankrah | |
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| Fonctions | |
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| Président du Conseil national de libération de la République du Ghana (chef de l'État) | |
| – (3 ans, 1 mois et 9 jours) |
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| Prédécesseur | Kwame Nkrumah (président de la République) |
| Successeur | Akwasi Afrifa |
| Biographie | |
| Nom de naissance | Joseph Arthur Ankrak |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Accra |
| Date de décès | (à 77 ans) |
| Lieu de décès | Accra |
| Nationalité | ghanéenne |
| Parti politique | Militaire |
| Conjoint | Mildred Christina Akosiwor Fugar (décédée en 2005) |
| Profession | Soldat |
| Religion | Catholicisme |
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| Chefs d'État ghanéens | |
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Joseph Arthur Ankrah, né le et mort le , est le premier commandant militaire (lieutenant général) de l'armée du Ghana et homme d'État, chef d'État du au .
Biographie
Le nouveau régime est aussitôt reconnu par l'Allemagne de l'Ouest et les États-Unis, qui pour ces derniers envoient de l'équipement militaire.
Après avoir pris le pouvoir, il change radicalement la position du Ghana vis-à-vis des groupes révolutionnaires anti-impérialistes du continent africain. Entre autres exemples, il fait condamner à de lourdes peines de prison les représentants de l'Union des populations du Cameroun (UPC) — engagée alors dans une guérilla contre le gouvernement profrançais du Cameroun —, qui étaient présents dans le pays avec le soutien du régime de Kwamé Nkrumah[1].
La journée internationale des travailleurs, célébrée le 1er mai, est interdite (et le sera jusqu'en 1972)[2].
Liens externes
Notes et références
- Thomas Deltombe, Manuel Domergue, Jacob Tatsita, KAMERUN !, La Découverte,
- « En Afrique de l’Ouest, le 1er-Mai, chacun fait ce qui lui plaît », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
