« Hortense Céline Rousselin-Corbeau de Saint-Albin » : différence entre les versions

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* Ernest Glaeser, ''Biographie nationale des contemporains'', vol.1, 1878, p.688
* Ernest Glaeser, ''Biographie nationale des contemporains'', vol.1, 1878, p.688
* Bénézit, 1976
* Bénézit, 1976
* Gaston-Louis Marchal, ‎Patrick Wintrebert, ''Arras et l'art au {{XIXe}} siècle: dictionnaire des peintres'', 1987, p.253
* Gaston-Louis Marchal, Patrick Wintrebert, ''Arras et l'art au {{XIXe}} siècle: dictionnaire des peintres'', 1987, p.253
* Élisabeth Hardouin-Fugier, ‎Françoise Dupuis-Testenoire, ''Les peintres de natures mortes en France au {{XIXe}} siècle'', 1998, p.313
* Élisabeth Hardouin-Fugier, Françoise Dupuis-Testenoire, ''Les peintres de natures mortes en France au {{XIXe}} siècle'', 1998, p.313
* Elisabeth Hardouin-Fugier, ‎Étienne Grafe, ''Les peintres de fleurs en France: de Redouté à Redon'', Les Editions de l'Amateur, 2003, p.271
* Elisabeth Hardouin-Fugier, Étienne Grafe, ''Les peintres de fleurs en France: de Redouté à Redon'', Les Editions de l'Amateur, 2003, p.271


== Notes et références ==
== Notes et références ==

Version du 13 août 2015 à 08:01

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Hortense (ou Hortensine) Céline Rousselin-Corbeau de Saint-Albin, née Duhameau, (Mayenne, 1817-Paris, 1874) est un peintre français.

Biographie

De son vrai nom Céline-Louise-Alexandrine Lebouvier-Duhameau, elle épouse le 23 avril 1831 à Le Chevain Hortensius Rousselin de Corbeau de Saint-Albin et signera désormais son nom Hortense (ou Hortensine) Céline Rousselin-Corbeau de Saint-Albin ou plus simplement Céline de Saint-Albin. Élève de Moïse Jacobber, elle expose des fleurs et fruits aux salons de 1843 à 1874. On lui doit aussi des peintures sur porcelaine. Ses œuvres sont au Musée du Luxembourg[1].

A sa mort, son mari composera Seul avec ma douleur ! Élégie à la mémoire de ma femme bien-aimée. Céline de Saint-Albin, née Duhameau de Villeret, publié chez Alcan-Lévy en 1874.

Œuvres

  • Corbeille de fleurs et de fruits, 1843
  • Canna et Hortensia, 1868
  • Fleurs et Coquillages, 1869
  • Magnolias et Amarantes, 1874

Bibliographie

  • Ernest Glaeser, Biographie nationale des contemporains, vol.1, 1878, p.688
  • Bénézit, 1976
  • Gaston-Louis Marchal, Patrick Wintrebert, Arras et l'art au XIXe siècle: dictionnaire des peintres, 1987, p.253
  • Élisabeth Hardouin-Fugier, Françoise Dupuis-Testenoire, Les peintres de natures mortes en France au XIXe siècle, 1998, p.313
  • Elisabeth Hardouin-Fugier, Étienne Grafe, Les peintres de fleurs en France: de Redouté à Redon, Les Editions de l'Amateur, 2003, p.271

Notes et références

  1. ↑ Notice des peintures, sculptures et dessins de l’École moderne exposés dans le Musée du Luxembourg sur Gallica
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