1626 en santé et médecine

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1623 - 1624 - 1625 - 1626 - 1627 - 1628 - 1629
Décennies de la santé et de la médecine :
1590 - 1600 - 1610 - 1620 - 1630 - 1640 - 1650

Divers[modifier | modifier le code]

  • Attesté dès au sens de « malade qui reste au lit », le mot « clinique » l'est pour la première fois au sens de « méthode médicale consistant à examiner le malade au lit[1] ».
  • Dans son Trattato cinegetico[2] (« Traité de la chasse »), Francesco Birago donne la première description connue de la dirofilariose[3].
  • Installation à Menghe, dans le Jiangnan, en Chine, de Fei Shangyou, fondateur d'une prestigieuse dynastie de médecins[4]'[5].

Fondations[modifier | modifier le code]

  • Janvier : « Un premier édit ordonn[e] l'établissement d'un jardin royal, au faubourg Saint-Victor à Paris, pour la culture des herbes médicinales », acte qui peut être tenu pour fondateur du Jardin des plantes, ouvert en [6].
  • Été : En Chine, pendant une épidémie, Peng Qisheng, « loyaliste » Ming, organise, avec une aide de l'État, mais principalement à ses frais, quatre dispensaires pourvus de médecins et situés aux portes de Haiyan, sa ville natale, dans la province de Zhejiang[7].
  • Fondation de l'hôpital Saint-Charles, à Nancy, en Lorraine, établissement qui formera, avec les hôpitaux Saint-Julien (fondé en ), Saint-Joseph () et Sainte-Anne, les hospices civils où seront soignés les blessés et les malades pendant les « occupations françaises », entre et [8].
  • Création à Limoges d'une maîtrise des apothicaires, première des « institutions locales qui peuvent être considérées comme les origines traditionnelles de l'enseignement médical » dans cette ville[9].
  • Fondation de l’apothicairerie de Roccavaldina en Sicile, grâce à une donation de Pietro Valdina, seigneur des lieux, à la confrérie du Très-Saint-Sacrement de Tusa[10].
  • Ouverture de deux chaires de médecine à l'université de Cagliari, en Sardaigne[11].
  • Mise en place d'un bureau de surveillance sanitaire à Cittanova, en Istrie , organisme dépendant du magistrat de la santé de Capodistria[12].
  • L'apothicaire Hendrick Munting (nl) (1583-1658) crée son propre jardin des simples, acte fondateur de l'actuel jardin botanique de Haren (nl), dans la commune de Groningue, aux Pays-Bas[13].

Publications[modifier | modifier le code]

  • Giovanni Francesco Arquati (fl. 1608-1626), médecin de Trévise, fait paraître un traité de peste sous le titre de Propugnacolo fortissimo per reprimere e rintucciare il fiero orgoglio e la crudel tirannide di qual si voglia peste ò contagio che si sia[14].
  • Gaspard Bachot fait paraître ses Erreurs populaires touchant la médecine[15],[16].
  • Parution posthume de la Sylva sylvarum de Francis Bacon[17], éditée par le secrétaire de l'auteur, William Rawley (en), « à partir de notes éparses » et qui contient d'importantes et nombreuses considérations sur la médecine[18].
  • Un certain Joannes Barberius fait paraître chez Jean Roize (hr), à Aix-en-Provence, une brochure sur un œdème traité par ses soins dans la ville de Montélimar[19].
  • Henri Barrès (1581-1649), docteur en médecine, donne sa réponse à Jacques Veyras sur l'empoisonnement supposé de Pierre Gardels, marchand de Pézenas[20].
  • Angelo Bolzetta, apothicaire à Padoue, fait paraître sa Theriaca Andromachi Senioris[21] « à l'occasion de la confection solennelle, par ses soins, de la thériaque d'Andromaque l'Ancien selon les prescriptions du collège de médecine padouan de 1576[22] ».
  • Parution des Hieroglyphica et medica emblemata[23],[24] de Louis de Caseneuve (fl. 1620).
  • Laurent Catelan (1568 ? – 1647), apothicaire, professeur à Montpellier, fait paraître un ouvrage sur la confection d'hyacinthe[25], préparation magistrale qu'il vient de composer en public conformément aux statuts de 1572 du collège des apothicaires[26].
  • Publication à Genève, sous le titre de Conseils de médecine dédiés aux plus célèbres médecins de l'Europe[27], de la traduction française des Consilia medica clarissimis medicis Europaeis dicata[28], de Joseph du Chesne (1544-1609), parus en 1603.
  • Gabriel Clément (° ), médecin ordinaire du roi Louis XIII, fait paraître Le Trépas de la peste[29].
  • Parution, sous les pseudonymes de Cornelius Cerastus Cornanus et Cariollinus Tevetio Crufenas, d'un ouvrage satirique, traité parodique de médecine consacré aux maladies des diverses sortes de « beanos », autrement dit de béjaunes[30], et intitulé Themata medica de beanorum, archibeanorum, beanolurum et cornutorum quocumque affectibus et curatione[31].
  • À propos de la chaleur innée, le philosophe Cesare Cremonini (v. 1550 – 1631) oppose une Apologia dictorum Aristotelis de calido innato adversus Galenum[32] aux De calido innato libri tres[33] de Pompeo Caimo (1568-1631), professeur d'anatomie à Rome.
  • Gabriel Cressonnet publie à Paris un traité de Physionomie judiciaire[34].
  • Louis Du Gardin (†  ?), professeur de médecine à Douai, fait paraître des Institutiones medicinae[35].
  • Pierre-Jean Fabre (1588-1658), alchimiste et médecin montpelliérain fait paraître à Toulouse un traité de « chirurgie spagyrique » (Chirurgia spagyrica[36]).
  • Epifanio Ferdinando (1569-1638) fait imprimer à Naples un court traité de peste qu'il intitule Aureus de peste libellus[37].
  • Marco Antonio Galteri, médecin sarde, fait paraître une Consultatio et oratio in foelici urbe Panormi sur la peste qui vient de sévir à Palerme, en 1624[38].
  • Antoine Gendre, médecin toulousain, fait paraître sa thèse « sur la fièvre épidémique qui a sévi au siège de Montauban » (De febre epidemica in Montis-Albani obsidione grassata[39]).
  • Samuel Kinner (de) (1603 ou 1604 – 1668), docteur de l’université de Wittemberg, médecin à Breslau puis archiatre de Jean-Christian, duc de Liegnitz-Brzeg, publie ses Quaestiones medicae controversae de peste[40].
  • Jean de Lamonière (1590 ? – ap. 1650), médecin à l'Hôtel-Dieu de Lyon, publie un traité sur la dysenterie qui a sévi dans cette ville l'année précédente 1625[41].
  • Prospero Martiani, médecin romain, fait paraitre ses commentaires sur Hippocrate (Hippocrates [...] notationibus explicatus[42]).
  • Parution posthume des « Conférences sur le deuxième livre des Épidémies d’Hippocrate », de Girolamo Mercuriale (1530-1606), éditées par son fils Massimiliano[43].
  • Un certain sieur de Mont-Valon, dans une brochure sur L’Esprit de vie, vante les vertus d'un élixir utile aux « sexagénaires et autres qui désirent vivre longuement en heureuse santé[44],[45] ».
  • Joachim Olhaf, médecin de Dantzig, publie ses « recherches sur la graine pestilentielle qui se cache dans le corps vivant » (De seminario pestilenti intra corpus vivum latitante disquisitio[46]).
  • Pour répondre aux objections soulevées par sa lettre « aux éminents médecins de Séville » (1625[47]) où il soutenait qu'il ne faut pas saigner les malades atteints de rougeole, Juan de Saavedra publie un Discurso en el que se prueba que no se debe sangrar en el sarampion despues de haber salido[48], qu'il fait suivre en quelques mois de plusieurs additions[49],[50].
  • Daniel Sennert (1572-1637), professeur de médecine à Wittemberg, fait paraître un « traité sur la dysenterie » (De dysenteria tractatus[51]).
  • Pierre Sordes, médecin de Figeac, « qui fut atteint de la maladie, en 1587, à l'âge de 20 ans[52] », fait paraître à Lyon son Traicté de la peste[53].
  • Parution posthume, à Padoue, du De formato foetu d'Adriaan van de Spiegel (1578-1625), avec des illustrations de Giulio Cesare Casseri (1552-1616[54]).
  • Arnold Weickhard, médecin de la ville de Francfort, publie une pharmacopée qu'il intitule Thesaurus pharmaceuticus galeno-chymicus[55].
  • Francisco Ximénez Guillen, médecin, fait paraître une brochure contre « l'onguent au mercure que le docteur Andres Hurtado utilisait à l'hôpital du Saint-Esprit [de Séville[56]] ».

Personnalité[modifier | modifier le code]

  • Fl., à Angers, le sieur Dugrat, « apothicaire et père des pauvres de l'hôpital Saint-Jean[57] ».

Naissances[modifier | modifier le code]

Ole Borch[58]

Décès[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Sur la peste en Sicile (à Modica, Sciacca, Drépane ou Palerme) :

  • Raffaele Poidomani, La Peste a Modica nel 1626, Raguse, 1966[72], et Ignazio Navarra, Il terrore della peste a Sciacca nel 1626, Foggia, 1986[73].

Références[modifier | modifier le code]

  1. ↑ « Clinique », dans Ortolang, CNRS et Atilf, (lire en ligne).
  2. ↑ (it) Francesco Birago, Trattato cinegetico, ouero della caccia del sig[nor] Francesco Birago, signor di Metono et di Siciano, nel qual si discorre essattamente intorno ad essa, come nel seguente foglio appare, in Milano [à Milan], appresso Gio[vanni] Battista Bidelli [chez Giovanni Battista Bidelli], m.dc.xxvi [1626] (lire en ligne).
  3. ↑ (en) Younes Laidoudi, Domenico Otranto, Natacha Stolowy et al., « Human and Animal Dirofilariasis in Southeast of France », Microorganisms, vol. 9, no 7,‎ , p. 1544 (lire en ligne).
  4. ↑ (en) Volker Scheid, « Restructuring the Field of Chinese Medicine : A Study of the Menghe and Ding Scholarly Currents, 1600-2000, Part 1 », East Asian Science. Technology and Medicine, université de Tübingen, vol. 22,‎ , p. 24 (lire en ligne).
  5. ↑ (en) Voler Scheid, Currents of Tradition in Chinese Medicine, 1626-2006, Eastland Press, , 565 p. (ISBN 978-093961656-5, présentation en ligne).
  6. ↑ Auguste Poirson, Observations sur le règne de Louis XIII et le ministère de Richelieu et sur l'ouvrage de M. Bazin, Paris, H. Fournier, , 58 p. (lire en ligne), p. 57.
  7. ↑ (en) Hsiung Ping-chen, « Children's Medicine [in the Yuan and Ming periods] », dans T. J. Hinrichs (dir.) et Linda L. Barnes (en) (dir.), Chinese Medicine and Healing : An Illustrated History, Cambridge (Massachusetts) et Londres, The Belknap Press of Harvard University Press, (ISBN 978-0-674-04737-2, lire en ligne).
  8. ↑ Alain Larcan, « Formations hospitalières du service des armées à Nancy de 1633 à 1691 », Médecine et armées, vol. 22, no 8,‎ , « Premiers établissements hospitaliers militaires », p. 627-634 (lire en ligne).
  9. ↑ Carl Havelange, Les Figures de la guérison (XVIIIe – XIXe siècles) : Une histoire sociale et culturelle des professions médicales, Paris, diffusion « Les Belles Lettres », coll. « Bibliothèque de la faculté de philosophie et lettres de l'université de Liège » (no 255), , 210 p. (ISBN 978-2-251-66255-8, lire en ligne), p. 70.
  10. ↑ (it) Giuseppe Pandolfo, Le conoscenze storiche sulla Spezieria di Rocca allo stato attuale delle ricerche, San Francisco (Californie), Academia.edu, s. d. (lire en ligne), p. 7.
  11. ↑ (it) Eleonora Todde, « Facoltà di medicina e chirurgia », dans Archivio storico, Università degli studi di Cagliari, s. d. (lire en ligne).
  12. ↑ (it) Dario Vojnović et Sonia Cappellari Vojnović, « Arte farmaceutica et farmacisti a Cittanova d'Istria », Atti del Centro di ricerche storiche di Rovigno, vol. 19, no 1,‎ , p. 133 (lire en ligne).
  13. ↑ (nl) Charlotte Henriëtte Andreas, In en om een botanische tuin : Hortus Groninganus 1626-1966, Groningen, Erven B. van der Kamp, , 199 p. (cité dans « Historie Oude Hortus », sur Hortusbuurt Ebbingekwartier (lire en ligne).
  14. ↑ (it) Giovanni Francesco Arquati, Propugnacolo fortissimo per reprimere e rintucciare il fiero orgoglio e la crudel tirannide di qual si voglia peste ò contagio che si sia [...] da Giovan Francesco Arquati [...], Trieste, A[ntonio]. Turrini, , 102 p., in-4° (BNF 30031488).
  15. ↑ Gaspard Bachot, Erreurs populaires touchant la médecine et régime de santé, par M. Gaspard Bachot bourbonnois, conseiller et médecin du roy, œuvre nouvelle, desirée de plusieurs, et promise par feu M. Laurens Joubert, à Lyon, par Barthelemy Vincent [le Jeune], (lire en ligne),
  16. ↑ Ouvrage réimprimé la même année chez la veuve de Thomas Soubron, à Lyon également, et sous le titre de Partie troisième des Erreurs populaires, touchant la médecine et régime de santé, en suite de celles de feu M. Laurens Joubert, contenant cinq livres (lire en ligne), voir Magdalena Koźluk, « Digression sur le « mespris » dans les Erreurs populaires de Gaspard Bachot », Acta universitatis Lodziensis : Folia litteraria Romanica,‎ (lire en ligne).
  17. ↑ Édition de 1635 : (en) Francis Bacon et William Rawley (en) (éd.), Sylva sylvarum or A naturall historie in ten centuries, written by the right honorable Francis, lo[rd] Verulam, viscount St. Alban, published after the authors death by William Rawley, doctor in divinitie, one of His Majesties chaplaines [etc.], London [Londres], printed by John Haviland for William Lee, and are to be sold by John Williams [imprimé par John Haviland pour William Lee, et en vente chez John Williams], , [26]-260-[28] p. (lire en ligne).
  18. ↑ Laurence Diebold, « Traduction de Sylva sylvarum de Francis Bacon », Carnets de la fondation des Treilles,‎ (lire en ligne).
  19. ↑ (la) Joannes Barberius, Hydropis in urbe Montiliensi facta curatio, Joanne Barberio medico praescribente, Aquis Sextiis [à Aix-en-Provence], typis J[oannis] Roize [sur les presses de Jean Roize], , 11 p., in-8° (BNF 30054229).
  20. ↑ (la) Henri Barrès, Responce a l'apologie publiee par maistre Jacques Veyras, docteur en medecine, pour le soustien de son opinion touchant l'empoisonnement imaginaire de Pierre Gardels, marchand de Pezenas, condamnée par l'université de Montpelier, par Henry Barres, docteur en medecine, a Beziers, par Jean Pech, m.dc.xxvi [1626], [1], [1 bl.], 3-142, [2 bl.] p., in-8° (BNF 44729311, lire en ligne).
  21. ↑ (la) Angelo Bolzetta, Theriaca Andromachi Senioris [...] composita hoc anno in pharmacopeae Angeli [...], quam ill[ustrissi]mae Germanae nationi Angelus Bolzetta pharmacopola Patavinus D. et S., Patavii [à Padoue], apud Impressores camerales [sur les Presses camérales], , [11] p., 23 x 16,5 cm (présentation en ligne).
  22. ↑ Pierre Julien, « La Thériaque à Padoue en 1626 [compte rendu, référence : Angelo Bolzetta, Theriaca Andromachi Senoris [...]] », Revue d'histoire de la pharmacie, vol. 91, no 340,‎ , p. 662 (lire en ligne).
  23. ↑ (la) Louis de Caseneuve, Hieroglyphicorum et medicorum emblematum δωδεκάχρουνος, auctore Ludovico Casanova, consiliario et medico regio, Lugduni [à Lyon], sumptibus Pauli Frellon [chez Paul Frellon], m.dcxxvi [1626], pièces limin., 140 p. et index (lire en ligne).
  24. ↑ Magdalena Koźluk, « Les Phantasma du mélancolique d'après Louis de Caseneuve (1626) », Studia litteraria universitatis Jagellonicae Cracoviensis, vol. 17, no 2,‎ , p. 107–123 (lire en ligne), et Magdalena Koźluk et Witold Konstanty Pietrzak, « Au carrefour de la médecine et de la littérature : Thomas Sonnet de Courval et Louis de Caseneuve », Folia litteraria Romanica, vol. 9, no 1,‎ , p. 31-44 (lire en ligne).
  25. ↑ Laurent Catelan, Discours et demonstration des ingredians de la confection de hyacinthe, destinée pour les enfans attaquez de la vermine, pourpre, petite verole, rougeole, flux de ventre, vomissemens, et semblables maladies qui retiennent quelque chose de contagieux, composee publiquement par Laurens Catelan, maistre apoticaire de Montpelier, où les vertus, proprietez et usage d'icelle sont representez, à Montpelier, par Jean Pech, , [8]-68 p. (lire en ligne).
  26. ↑ Jean-Louis Bosc, « Ce que fut la thériaque de Montpellier », Revue d'histoire de la pharmacie, vol. 97, no 367,‎ , p. 291 (lire en ligne).
  27. ↑ Joseph du Chesne, Conseils de medecine dediez aux plus celebres medecins de l'Europe, par Jos[eph] du Chesne, sieur de la Violette, medecin ordinaire du roy, à Paris, chez C[laude] Morel, m.dc.xxvi [1626] (lire en ligne).
  28. ↑ (la) Joseph du Chesne, Jos[ephi] Quercetani, cons[ilii] et medici regii, liber De priscorum philosophorum verae medicinae materia, praeparationis modo atque in curandis morbis praestantia [etc.], his accesserunt ejusdem Jos. Quercetani De dogmaticorum medicorum legitima et restituta medicamentorum praeparatione libri duo, itemque Selecta quaedam consilia medica clarissimis medicis Europaeis dicata, S. Gervasii [à Saint-Gervais], apud Haeredes Eustathii Vignon [chez les héritiers d'Eustache Vignon], m.dciii [1603] (lire en ligne), p. 213.
  29. ↑ Gabriel Clément, Le Trespas de la peste, par Gabriel Clement natif de Nantes en Bretagne, conseiller et medecin ordinaire du roy, à Paris, chez Jeremie et Christophle Perier, m.dc.xxvi [1626], 2 parties en 1 vol. ([14]-91-[1 bl.] p. ; 62 p.) : ill. (portr.), in-8° (lire en ligne).
  30. ↑ David Bourgeois, « Un aspect de la vie étudiante : Le Ritus depositionis à travers une illustration du XVIIe siècle », Annuaire historique de Mulhouse,‎ , p. [4], n. 8 (lire en ligne).
  31. ↑ (la) Cornelius Cerastus Cornanus et Cariollinus Tevetio Crufenas, Themata medica de beanorum, archibeanorum, beanulorum et cornutorum quorumcunque affectibus et curatione, ad quae praesidente admodum praecellenti et exquisito Cornelio Cerasto Cornano, medico et cheirurgo regio Beanorum, respondebit Cariollinus Tevetio Crufenas, Cornanae [à Cornana], typis Wolphgangi Blass ins Horn [sur les presses de Wolfgang Blass ins Horn], s. d. [v. 1626 ?, 1630 ?], 24 p., in-4° (BNF 31447816, lire en ligne).
  32. ↑ (la) Cesare Cremonini, Apologia dictorum Aristotelis de calido innato, adversus Galenum, Caesaris Cremonini centensis in scola Patavina phylosophi priae sedis, Venetiis [à Venise], ex thypographia Deuchiniana [des presses de Deuchine], mdcxxvi [1626] (lire en ligne).
  33. ↑ (la) Pompeo Caimo, De calido innato libri tres, in quibus non solum ejus natura explicatur, sed solidae etiam medicorum in hoc argumento doctrinae ostenditur [etc.], auctore Pompeio Caimo Utinensi equite et Patavino gymnasio theoricae ordinariae professore primario, Venetiis [à Venise], apud Hieronymum Piutum [chez Girolamo Piuti], mdcxxvi [1626], in-4° (lire en ligne).
  34. ↑ Gabriel Cressonnet, Physiognomie judiciaire, avec la prognostication de la temperature des corps, œuvre tres-utile et recreative pour les medecins, et toutes autres personnes, par Gabriel Cressonnet, à Paris, chez Adrian Bacot, m.dc.xxvi [1626], [6]−108-[9] p., in-12 (lire en ligne).
  35. ↑ (la) Louis Du Gardin, Hortensii manuductio per omnes medicinae partes, seu Institutiones medicinae, authore Ludovico Du Gardin, medicinae doctore et professore regio ordinario in alma universitate Duacensi, Duaci [à Douai], typis Petri Auroy [sur les presses de Pierre Auroy], m.dc.xxvi [1626], 2 t. en 1 vol., fig. gravées, in-8° (BNF 30369384, lire en ligne).
  36. ↑ (la) Pierre-Jean Fabre, Chirurgia spagyrica Petri Joannis Fabri doctoris medici Monspeliensis, in qua de morbis cutaneis omnibus spagyrice et methodice agitur, et curatio eorum cita, tuta et jucunda tractatur, Tolosae [à Toulouse], apud Petrum Bosc [chez Pierre Bosc], mdc.xxvi [1626], 176 p. et la table, in-8° (lire en ligne).
  37. ↑ (la) Epifanio Ferdinando, Aureus de peste libellus, varia, curiosa et utili doctrina refertus, atque in hoc tempore unicuique apprime necessarius [...], auctore Epiphanio Ferdinando, medico physico Messapiense e Salentinis [etc.], Napoli [à Naples], apud Dominicum Maccaranum [chez Domenico Maccarano], (lire en ligne).
  38. ↑ (la) Marco Antonio Galteri, Marci Antonii Galterii [...] Consultatio et oratio habitae in foelici urbe Panormi, Panormi [à Palerme], apud Johannem Antonium de Franciscis [chez Giovanni Antonio de Franceschi], , 95-[9] p., in-4° (BNF 30478163).
  39. ↑ (la) Antoine Gendre, Antonii Gendre Arverni, apud Tholosanos doctoris medici, De febre epidemica in Montis-Albani obsidione grassata, medica dissertatio [...], Lugduni [à Lyon], sumpt[ibus] Antonii Chard [chez Antoine Chard], m.dc.xxvi [1626], pièces limin, 532 p., in-8° (lire en ligne).
  40. ↑ (la) Samuel Kinner (de), Quaestiones medicae controversae, De peste, quas Christo achiatro summo coelitus aspirante in celeberrima Septemvirali ad Albim academia, sub praesidio viri praeclarissimi, excellentissimi atque experientissimi Dn. D. Danielis Sennerti, philosophi et medici celeberrimi, facultatis medicinae professoris publici primarii et ejusdem collegiii senioris meritissimi Dn. promotris, preceptoris et hospitis sui aetatem venerandi publice discutiendas proponit Samueli Kinner, Vratisl[aviensis] [...], Wittebergae [à Wittemberg], ex officina typographica Christiani Tham [des presses de Christian Tham], ciↃ iↃ c xxvi [l'an 1626] (BNF 36896043, lire en ligne).
  41. ↑ (la) Jean de Lamonière, Observatio fluxus dysenterici Lugduni Gallo[rum] populariter grassantis anno Domini 1625, et remediorum illi utilium, authore Joanne de Lamoniere Lugdunensi, universitatis Monspeliensis doctore medico, inter medicos Lugdunenses cooptato et utriusque Nosocomii medico ordinario [...], Lugduni [à Lyon], sumptib[us] Bartholomaei Vincentii [chez Barthélemy Vincent], m.dc.xxvi [1626], pièces limin., 238 p., in-12 (lire en ligne).
  42. ↑ (la) Hippocrate et Prospero Martiano, Magnus Hippocrates Cous Prosperi Martiani medici Romani notationibus explicatus, opus desideratum, Romae [à Rome], typis Jacobi Mascardi [sur les presses de Giacomo Mascardi], mdcxxvi [1626], pièces limin., 618 p. et index, portr. gr. au titre, in-fol. (lire en ligne).
  43. ↑ (la + grc) Girolamo Mercuriale [et Massimiliano Mercuriale, éd.], D. Hieronymi Mercurialis Foroliviensis, philosophi ac medici sui saeculi praeclarissimi, olim in Bononiensi archigymnasio eminentissimi, In secundum lib[rum] Epid[emiarum] Hipp[ocratis] praelectiones Bononienses, opus multiplici eruditione doctrina, ac fere innumeris problematibus refertum, non solum medicis omnibus necessarium verum philosophis, ac politiores literas profitentibus jucundum […], indice adjecto rerum ac verborum ditissimus [a cura Maximiliani Mercurialis], Forolivii [à Forlì], apud Cimattios [chez les Cimatti], , [36]-314-[6] p. (lire en ligne).
  44. ↑ Maurice Bouvet, « Histoire sommaire du remède secret (suite et fin), II : La Publicité », Revue d'histoire de la pharmacie, vol. 45, no 154,‎ , « La Publicité par livres et brochures », p. 111 (lire en ligne).
  45. ↑ Mont-Valon, L'Esprit de vie, ou l'Élixir certain et véritable de la suitte et continuation de l'humeur, radical, en la personne des sexagénaires, et autres qui désirent vivre longuement en heureuse santé [...] par le sieur de Mont-Valon, s. l., s. n., s. d. [1626 ?], VI-37 p., in-8° (BNF 30973888).
  46. ↑ (la) Joachim Olhaf, De seminario pestilenti intra corpus vivum latitante disquisitio physica et medica, autore Joachimo Olhafio, medico physico Dantiscano, Dantisci [à Dantzig], typis Georgii Rheti [sur les presses de Georg Rhete], anno Christi CIↃ IↃC XXVI [l'an du Christ 1626], pièces limin., 176 p., in-4° (lire en ligne).
  47. ↑ (es) Juan de Saavedra, El Doctor Juan de Saavedra, médico de la ciudad de Sevilla, y catedratico que fue de prima de medicina en su universidad, à los insignes médicos de ella, Málaga, impresso por J. Regné, , 12 f., in-4° (BNF 31273450).
  48. ↑ (es) Juan de Saavedra, Discurso en el que se prueba que no se debe sangrar en el sarampion despues de haber salido, Granada, , in-4°.
  49. ↑ (es) Juan de Saavedra, Adicion al discurso que hizo, probando que no se debe sangrer en el sarampion despues de haber salido, Granada, por Juan Muñoz, , in-4° ; Segunda adicion sobre el mismo asunto, Granada, , in-4° ; Segunda respuesta a satisfactora y apercebimiento, que se sangre en el saranpion antes de salir, y despues de auer salido algunas vezes, s. l., s. n., s. d.[1626 ?], [8] p. (lire en ligne) ; Contendit satisfacere apologiae, quam edidit doctissimus doctor Ludovicus Perez Ramirez, hujus academiae primarius medicinae profesor, et nemini secundus, s. l., s. n., s. d. [1626 ?], 14 f. (lire en ligne) ; Colloquium de venae sectione in morbilis, inter duos doctores medicos hispalenses, interlocutores Altamiranus, Spinosa, scripsit et typis dedit doctor Joannes de Saavedra, in academia ejusdem civitatis, olim primarius medicinae professor, s. l., s. n., s. d. [1626 ?], 36 f. (lire en ligne).
  50. ↑ (es) Antonio Fernandez Morejon, Historia bibliográfica de la medicina española, t. IV, Madrid, imprenta de la viuda de Jordán e hijos, (lire en ligne), p. 167-168.
  51. ↑ (la) Daniel Sennert, De dysenteria tractatus, auctore Daniele Sennerto, Wratislaviensi Siles[iae] d[octore] et facult[atis] medic[ae] in academia Wittebergensi profess[ore] publ[ico], Wittebergae [à Wittemberg], apud Zachariam Schürerum [chez Zacharias Schürer], anno Christi M.DC.XXVI [l'an du Christ 1626], pièces limin., 168 p., in-8° (lire en ligne).
  52. ↑ Henri-Maxime Ferrari, Une chaire de médecine au XVe siècle : Un professeur à l'université de Pavie de 1432 à 1472, Paris, Félix Alcan, (lire en ligne), p. 216-217, 3e part. : « Quelques consultations », XVI-XVII : « Pour nous préserver de la peste ».
  53. ↑ Pierre Sordes, Traicté de la peste [...], par M. Pierre Sordes [...], Lyon, C[laude]. Chastelard, , 25 p. et la table, in-12 (BNF 31385328).
  54. ↑ (la) Adriaan van de Spiegel et Liberalis Crema (éd.), Adriani Spigelii Bruxellensis, equitis D. marci in gym. pat. anat et chirurgiae professoris primarii De formatio foetu liber singularis, aeneis figuris exornatus, Epistolae duae anatomicae, Tractatus de arthritide, opera posthuma studio LIberalis Cremae Tarvisini, philosoph. et medicinae doctoris, edita, Patavii [à Padoue], apud Io. Bap. de Martinis et Livium Pasquatum [chez Giovanni Battista Martini et Livio Pasquato], m.dc.xxvi [1626] (lire en ligne).
  55. ↑ (la) Arnold Weickard, Colerus redivivus, sive Thesaurus pharmaceuticus galeno-chymicus, sive Tractatus practicus ex optimorum authorum tam veterum quam neotericorum placitis, opera et studio Arnoldi Weickardi D., quondam medici Palatini Arcis Polandanae, nunc autem reipubl Francofurtensis phys[ici], ordinarii consetiptus atque in sex peculiares libros digestus [...], Francofurti ad Moenum [à Francfort-sur-le-Main], sumptibus Johan[nis] Godofredi Schönwetteri [chez Johann Gottfried Schönwetter], m.dc.xxvi [1626], pièces limin., 642-198 p. (lire en ligne).
  56. ↑ (es) Francisco Ximénez Guillen, Animadversiones del dotor Francisco Ximenez Guillen cerca de la receta del ungunto de mercurio que el dotor Andres Hurtado de Tapia usava en el hospital del Espiritu Santo [etc], impresso en Sevilla [imprimé à Séville], por Francisco de Lyra [par Francisco de Lyra], año de 1626 [l'an 1626], 15 f., in-4° (BNF 31673983, lire en ligne).
  57. ↑ Charles Ménière, « Notes pour servir à l'histoire des pharmaciens d'Angers, de 1474 à 1800 », Journal de chimie médicale, de pharmacie, de toxicologie, 4e série, vol. 5,‎ , p. 618-638 (lire en ligne).
  58. ↑ Gravé par Hubert Schaten d'après Johan Jepsen (c.1691).
  59. ↑ « Redi, Francesco », dans Base biographique, bibliothèques d'université de Paris, s. d. (lire en ligne).
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  61. ↑ (it) Agostino Palmerini, « Marchetti, Domenico », dans Enciclopedia Italiana, Treccani, (lire en ligne).
  62. ↑ Pierre Julien, « Matte La Faveur et l'Eau de la reine de Hongrie [compte rendu, référence : Patrice Boussel, « Deux cent cinquantième anniversaire de la naissance de Balthazar Julliot (1716-1790) », Moniteur des pharmacies « édition spéciale quotidienne des Journées pharmaceutiques françaises, 1966 »,‎ , p. 32-34] », Revue d'histoire de la pharmacie, vol. 55, no 192,‎ , p. 410 (lire en ligne).
  63. ↑ Louis Dulieu, « Un concours de chimie au XVIIIe siècle », Revue d'histoire des sciences et de leurs applications, vol. 10, no 1,‎ , p. 81-83 (lire en ligne).
  64. ↑ Sébastien Matte La Faveur, Pratique de chymie, divisée en quatre parties, par S[ébastien] Matte La Faveur, distillateur et demonstrateur ordinaire de la chymie en la faculté de medecine de Montpelier, avec un Avis sur les eaux minerales, à Montpelier, par Daniel Pech, m.dc.lxxi [1671] (lire en ligne).
  65. ↑ Jean Donneau de Visé, L'Amour échapé ou les Diverses Manières d'aymer, contenuës en quarante histoires, avec Le Parlement d'amour, t. III, à Paris, chez Thomas Jolly, m.dc.lxix [1669], [6]-422-[4] p. (lire en ligne), p. 16-17.
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  70. ↑ (it) Salvatore Salomone Marino (it), « La peste in Palermo negli anni 1624-1626 : Relazione di anonimo ora per la prima volta stampata », Archivio storico siciliano, vol. 30, no 1, nouvelle série,‎ , p. 226 (lire en ligne).
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  72. ↑ (it) Raffaele Poidomani, La Peste a Modica nel 1626 : Monografia storica in base ad atti e documenti originali, Raguse, Caflac, , 74 p. (présentation en ligne).
  73. ↑ (it) Ignazio Navarra, Il terrore della peste a Sciacca nel 1626 con riferimento allecittà di Trapani e Palermo : Documenti inediti, Foggia, Bastogi, (présentation en ligne).
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