Abderrahmane Adjerid

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Abderrahmane Adjerid
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La hogra ou l'humiliation du peuple algérien (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

Abderrahmane Adjerid, né le à Ouled Moussa (Algérie française) et mort en , est un avocat, écrivain et homme politique algérien.

Biographie[modifier | modifier le code]

De 1939 à 1956[modifier | modifier le code]

Abderrahmane Adjerid est né à Ouled Moussa d'où sa famille est originaire. Il commence ses études secondaires à El Harrach, mais il les abandonne en 1956 conformément aux appels à la grève du FLN du . Il reprend plus tard ses études pour devenir avocat.

De 1956 à 1988[modifier | modifier le code]

De 1988 à 1998[modifier | modifier le code]

En 1989, l'Algérie s'ouvre au multipartisme et Abderrahmane Adjerid fonde le de la même année le Parti social-démocrate (PSD) qu'il préside jusqu'en . Il n'a pas été exclu, vu la crise qui a secoué le parti (PSD), mais il décide de créer un nouveau parti politique, le Front du salut national (FSN), dont il devient le président[1].

En 1992, il publie La hogra ou l'humiliation du peuple algérien dans lequel il critique l'arrêt du processus électoral de janvier 1992[2].

Abderrahmane Adjerid éditait deux journaux, Le Progrès (en français) et Ettaqadoum (en arabe)[3].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Achour Cheurfi, La classe politique algérienne : de 1900 à nos jours : dictionnaire biographique, Alger, Casbah éditions, , 511 p. (ISBN 9961642929 et 9789961642924, OCLC 52258055, lire en ligne), p. 26.
  2. Abderrahmane Adjerid, La hogra, ou, L'humiliation du peuple algérien, Editions Babylone, (ISBN 2950704808 et 9782950704801, OCLC 32017120, lire en ligne).
  3. Badr’Eddine Mili, « L'opposition politique en Algérie », Le soir d'Algérie,‎ (lire en ligne).

Liens externes[modifier | modifier le code]