Abiola Félix Iroko

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Abiola Félix Iroko, parfois simplement Félix Iroko, né en 1946 et mort le 13 novembre 2020[1], est un historien béninois originaire de Kétou[2], auteur de plusieurs ouvrages sur les civilisations de l'Afrique de l'ouest. Il a également écrit sur l'esclavage en Afrique.

Biographie[modifier | modifier le code]

Abiola Félix Iroko est titulaire d'un doctorat de lettres et de sciences humaines de l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne[3]. Professeur au département d’histoire et d’archéologie de l'université d'Abomey-Calavi (Bénin), il a également beaucoup pratiqué la cithare dans sa jeunesse[2].

Il est membre correspondant honoraire de l'Académie royale des sciences d'outre-mer, Classe des sciences humaines[3].

Œuvres[modifier | modifier le code]

  • Abiola Félix Iroko, L'homme et les termitières en Afrique, Éditions Karthala, 1996[4]
  • Abiola Félix Iroko, Les cauris en Afrique Occidentale du dixième au vingtième siècle, ANRT, 1988, 980 pages[5]
  • Abiola Félix Iroko, Josette Rivallain, Marie-Claude Eyraud, Laboratoire d'ethnologie (Paris), Calebasses béninoises : collections du Musée de l'homme, Laboratoire d'éthnologie, Musée national d'histoire naturelle, Sépia, 1998[6]
  • Abiola Félix Iroko, Ogunsola John Igue, Les villes yoruba du Dahomey : l'exemple de Ketu, 1975[7]
  • Abiola Félix Iroko, La côte des esclaves et la traite atlantique : les faits et le jugement de l'histoire, Nouvelle presse publications, 2003[8]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Annexes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]