Aegiphila integrifolia

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Aegiphila integrifolia
Description de cette image, également commentée ci-après
échantillon type de Manabea arborescens collecté par Aublet en Guyane
Classification APG III (2009)
Règne Plantae
Clade Angiospermes
Clade Dicotylédones vraies
Clade Astéridées
Clade Lamiidées
Ordre Lamiales
Famille Lamiaceae
Sous-famille Ajugoideae
Tribu Clerodendreae
Genre Aegiphila

Espèce

Aegiphila integrifolia
(Jacq.) B.D. Jacks., 1893

Synonymes

selon tropicos :

  • Aegiphila arborescens (Aubl.) J.F. Gmel.
  • Aegiphila arborescens Vahl
  • Aegiphila arborescens var. breviflora Schauer
  • Aegiphila arborescens var. brevifolia Schauer
  • Aegiphila arborescens var. longifolia Schauer
  • Aegiphila guianensis Moldenke
  • Aegiphila integrifolia var. guianensis (Moldenke) López-Pal.
  • Aegiphila sellowiana Cham.
  • Callicarpa discolor Willd. ex Steud.
  • Callicarpa globiflora Ruiz & Pav.
  • Callicarpa integrifolia Jacq. - Basionyme
  • Manabea arborescens Aubl.
  • Manabea villosa Aubl.[1]

selon GBIF :

  • Aegiphila amazonica Moldenke
  • Aegiphila arborea Spruce
  • Aegiphila arborea Spruce ex Moldenke
  • Aegiphila arborescens (Aubl.) J.F.Gmel.
  • Aegiphila arborescens var. breviflora Schauer
  • Aegiphila arborescens var. longiflora Schauer
  • Aegiphila cowanii Moldenke
  • Aegiphila guianensis Moldenke
  • Aegiphila integrifolia (Jacq.) Moldenke
  • Aegiphila integrifolia var. guianensis (Moldenke) López-Pal.
  • Aegiphila integrifolia var. integrifolia
  • Aegiphila integrifolia var. lopez-palacii Moldenke
  • Aegiphila parviflora Moldenke
  • Callicarpa discolor Willd.
  • Callicarpa discolor Willd. ex Steud.
  • Callicarpa globiflora Ruiz & Pav.
  • Callicarpa integrifolia Jacq. - Basionyme
  • Clerodendrum discolor Willd.
  • Clerodendrum discolor Willd. ex Moldenke
  • Manabea arborescens Aubl.[2]

Aegiphila integrifolia est une espèce arbustive néotropicale, appartenant à la famille des Lamiaceae (anciennement des Verbenaceae).

On l'appelle en Guyane bois de golette, aigpan kamwi (Palikur)[3].


Description[modifier | modifier le code]

Aegiphila integrifolia est un arbuste ou petit arbre, atteignant jusqu'à 8 m de haut. Ses branches sont tétragones et contiennent une moëlle. L'intérieur des rameaux, les pétioles et les inflorescences sont densément strigoses et soyeuses.

Le pétiole est long de 5 à 20 mm. Les feuilles sont opposées souvent de taille inégale (anisophyllie), membraneuses ou chartacées, de forme oblongue ou elliptique, à marge entière ou parfois légèrement denticulée dans la partie supérieure du limbe, à base atténuée et décurrente dans le pétiole, à apex acuminé ou aigu, mesurant 7-30 x 3-12 cm. Le limbe est foncé sur les deux faces, strigose peu abondante au dessus, devenant glabre et scabreux avec l'âge, strigose en dessous, plus dense sur les nervures. La partie basale du limbe le long de la nervure primaire présentant souvent des glandes éparses en forme de disque. Les nervures primaires et 10-12 paires de nervures secondaires sont proéminentes ou aplaties au-dessus, proéminentes en dessous.

L'inflorescence est solitaire, en cymes axillaires à nombreuses fleurs, mesurant 1,5-2 x 3,5-4 cm à l'anthèse. Le pédoncule est long de 2-5 cm, les pédicelles sont longs de 2-7 mm, et les bractées de 1 mm. Les bractéoles sont discrètes.

Le calice est de couleur verte, infundibuliforme, long de 4-6 mm, pubérulent à l'extérieur souvent avec des points glandulaires noirs, glabre à l'intérieur, avec 4 lobes triangulaires, aigus et longs de 1-1,5 mm. La corolle est de couleur blanche, glabre, parfois avec des poils sores apprimés à l'extérieur, infundibuliforme, longue de 7-10 mm, à 4 lobes de forme oblong-lancéolés, aigus-obtus, longs de 2-3 mm. On compte 4 étamines glabres, insérées à environ 3 mm au-dessus de la base du tube de la corolle, avec des filets longs de 6-7 mm les fleurs à style court (0,5-1 mm dans les fleurs à style long). Les anthères sont longues de 1 mm. L'ovaire est glabre, de forme oblong-eIlipsoïde, long de 0,5-1 mm, avec le style glabre, parfois avec des poils apprimés, long de 7 mm y compris la bifurcation longue de 2 mm dans les fleurs à style court (10-12 mm dont 4 mm de la bifurcation dans les fleurs à style long).

Lors de la fructification, le calice est cupuliforme, long d'environ 4 mm pour 6 mm de diamètre. Le fruit passe du vert au jaune puis au rouge orangé, globuleux, lisse et brillant mesure environ 8 mm de diamètre[3].

Répartition[modifier | modifier le code]

On rencontre Aegiphila integrifolia dans toute l'Amérique du Sud tropicale[3].

Écologie[modifier | modifier le code]

Aegiphila integrifolia est une espèce pionnière localement commune dans la forêt secondaire sur le sable, jusqu'à 1 000 m d'altitude. Elle fleurit et fructifie tout au long de l'année[3].

Aegiphila integrifolia est hétérostylée.

Les fruits d’Aegiphila integrifolia sont disséminés à Trinidad par les oiseaux comme Tangara gyrola ou Tangara mexicana[4].

L'influence de l'intensité lumineuse sur les semis de Aegiphila integrifolia a été étudiée : l'exposition brusque au plein soleil de plantules initialement cultivées à l'ombre entraîne une diminution de la photosynthèse nette, mais ce paramètre se rétablit après le développement de nouvelles feuilles au soleil. Le processus d'endurcissement sous des niveaux d'irradiation élevés induit des réponses morpho-anatomiques telles que l'augmentation de l'épaisseur du parenchyme palissadique, la diminution de la surface totale des feuilles, et l'augmentation de la densité stomatique. Ainsi, cette acclimatation physiologique et morpho-anatomique augmente la résistance des plantules, et donc la probabilité de survie lors de la plantation in situ[5].

On a identifié une nouvelle espèce de parasitoïde de mouche des fruits (Opius hexachaeta Kula et Aguirre, Braconidae), sur des larves de Hexachaeta sp. (en) se nourrissant de graines de Aegiphila integrifolia (Jacq.) B.D. Jacks[6].

On a étudié la résistance de Aegiphila integrifolia aux fourmis coupeuses de feuilles Atta sexdens rubropilosa[7].

Le rôle de Aegiphila integrifolia dans la régénération naturelle a été étudié via sa présence dans la banque de graines du sol[8], et dans divers contextes[9],[10],[11],[12],[13],[14],[15].

Usages[modifier | modifier le code]

L'activité antivenin de Aegiphila integrifolia a été testée sur venin brut de Bothrops atrox : ses composés (lupéol, acide bétulinique, β-sitostérol, stigmastérol, mannitol, flavonoïdes, pectolinarigénine et hispiduline) ont partiellement inhibé les réactions protéolytiques, phospholipasiques[16].

Aegiphila integrifolia contient de la pectolinarigénine (flavonoïde) qui présente des effet neuroprotecteur et anti-inflammatoire, contre l'inflammation induite par les lipopolysaccharides dans les astrocytes[17].


Protologue[modifier | modifier le code]

Manabea laeve (=Aegiphila integrifolia) par Aublet (1775) :
Planche 24. - Les fleurs & les parties détaillées ſont repréſentées de grandeur naturelle. - 1. Calice. - 2. Fleur. - 3. Corolle. - 4. Corolle ouverte. Étamines. - 5. Calice ouvert. piſtil. - 6. Ovaire. Style. Stigmate. - 7. Capſule enveloppée en partie du calice. - 8. Capſule. - 9. Capſule couple en travers. - 10. Semences.[18]

En 1775, le botaniste Aublet a décrit pour la première fois Aegiphila integrifolia sous le nom de Manabea arborescens et en a proposé le protologue suivant[18] :

« 2. MANABEA (arboreſcens) foliis ovatis, acuminatis ; floribus glomeratis, albis. (Tabula 24.)

Arbor trunco decem-pedali, in ſummitate ramoſo ; ramis & ramulis tetragonis, nodoſis, hinc & inde ſparſis. Folia oppoſita, ovata, acuta, glabra, integerrima, ſuperne viridia, inferne pallide virentia, petiolata. Flores corymbofl, axillares, corymbis oppoſitis; corymbus tripartitus, ramis singulis tripartitis, ad baſim biglanduloſis ; ramulis duobus oppoſitis, florum capitulo terminatis, intermedio unifloro-, flores ſinguli, brevi pedunculati. Corolla alba. Bacca lutea, ſubrotunda, compreſſa, bilocularis.

Floret variis anni temporibus.

Habitat in ſylvis Caïennæ & Guianæ.

Nomen gallicum, bois DE GOLETTE.


LE MANABO en arbre. (Planche 24.)

Cet arbre eſt de moyenne grandeur. Son tronc s'élève de huit à dix pieds, ſur ſept à huit pouces de diamètre. L'écorce eſt griſâtre, gerſée. Le bois eſt blanchâtre: il pouſſe à ſon ſommet des branches chargées de rameaux noueux, oppoſés, & diſpoſés en croix.

Les branches & les rameaux ſont à quatre angles. Chaque nœud eſt garni de deux feuilles oppoſées. Celles-ci ſont vertes, entières, liſſes, en deſſus, & plus pâles en deſſous, ovales, terminées en pointe ; leur pédoncule eſt court ; les plus grandes ont quatre pouces de longueur ſur un pouce & demi de largeur.

Les fleurs naiſſent à l'aiſſelle des feuilles, ſur une tige à quatre angles qui ſe partage en trois branches, deux oppoſées & une intermédiaire.

Les deux dernières branches oppoſées portent à leur extrémité un groupe de fleurs en forme de tête arrondie. Les branches intermédiaires ne portent qu'une fleur. Au deſſous de la bifurcation de chaque branche ſont places deux petits corps glanduleux. Chaque fleur a ſon pédoncule particulier.

Le calice eſt en forme de coupe, & ſon bord à cinq petites dentelures.

La corolle eſt blanche, d'une ſeule pièce. c'eſt un tube long, attaché au deſſous de l'ovaire, qui s'évaſe, & ſe partage à ſon orifice en quatre lobes égaux & aigus.

Les étamines ſont au nombre de quatre, placées à l'entrée du tube, au deſſous de chaque diviſion de la corolle ; leur filet eſt long. Les anthères ſont blanches, ovoïdes, à deux bourſes ſéparées par un ſillon.

Le pistil eſt un ovaire arrondi, ſurmonté d'un style qui ſe diviſe en deux branches terminées chacune par un ſtigmate obtus.

L'ovaire devient une capsule jaune, comprimée, à deux loges qui contiennent chacune deux petites ſemences brunes. Cette capſule eſt emboëtée, en partie, dans le calice qui ſubſiſte.

Le bois de cet arbre ſe fend très facilement. À Caïenne, on le travaille en lattes pour faire des claies qui forment les cloiſons des maiſons: on les recouvre de terre, que l'on blanchit enſuite avec la chaux, ou une terre blanche commune dans le pays. c'eſt par rapport à cet uſage que les habitans ont nommé cet arbre BOIS DE GOLETTE.

Le Manabo croît dans l'île de Caïenne & dans la Guiane. »

— Fusée-Aublet, 1775.


Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. (en) Référence Tropicos : Aegiphila integrifolia (+ liste sous-taxons)
  2. (fr + en) Référence GBIF : Aegiphila integrifolia
  3. a b c et d (en) Marion J. Jansen-Jacobs, B. J. H. ter Welle et P. Détienne, Flora of the Guianas : Fasc. 148. VERBENACEAE, Koenigstein, A. R. A. GORTS'VAN RIJN. Koeltz Scientific Books, coll. « Series A: Phanerogams », , 116  (ISBN 3-87429-279-7)
  4. (en) Barbara K. Snow et D. W. Snow, « The feeding ecology of tanagers and honeycreepers in Trinidad », The Auk, vol. 88, no 2,‎ , p. 291-322 (DOI 10.2307/4083882, lire en ligne)
  5. (en) Thaı´s Mazzanatti, Anderson Kikuchi Calzavara, José Antonio Pimenta, Halley Caixeta Oliveira, Renata Stolf-Moreira et Edmilson Bianchini, « Light acclimation in nursery: morphoanatomy and ecophysiology of seedlings of three light-demanding neotropical tree species », Braz. J. Bot, vol. 39,‎ , p. 19–28 (DOI 10.1007/s40415-015-0203-5, lire en ligne)
  6. (en) Robert R. Kula, Helmuth Aguirre et Pedro Alexander Rodriguez-Clavijo, « A New Species of Opius (Bellopius) (Hymenoptera: Braconidae) Reared from Hexachaeta (Diptera: Tephritidae) Flies in Colombia, with a Key to New World Species of Opius Parasitic on Fruit-Infesting Tephritidae », Proceedings of the Entomological Society of Washington, vol. 124, no 1,‎ , p. 75-84 (DOI 10.4289/0013-8797.124.1.75, lire en ligne)
  7. (en) Jéssica Magon Garcia, Alexandre de Mello Bordignon, Géssi de Sousa Gonzaga et José Marcelo Domingues Torezan, « Tree seedling responses to leaf-cutting ants herbivory in Atlantic Forest restoration sites », biotropica, vol. 52, no 5,‎ , p. 884-895 (DOI 10.1111/btp.12808, lire en ligne)
  8. (en) Aurino Miranda Neto, Sebastião Venâncio Martins et Kelly de Almeida Silva, « Plantlet rescue in a soil seed bank to produce forest species seedlings », Ecological Engineering, vol. 132,‎ , p. 94-101 (DOI 10.1016/j.ecoleng.2019.04.002, lire en ligne)
  9. (en) Isabel Cristina Restrepo-Carvajal, Adriana Pellegrini Manhães, Laura Cristina Pantaleão, Luiz Fernando Duarte de Moraes, Dulce Gilson Mantuano et Jerônimo Boelsums Barreto Sansevero, « Testing for priority effects of tree plantings on natural regeneration in restoration sites in the Brazilian Atlantic Forest », Applied Vegetation Science, vol. 27, no 1,‎ , e12768 (DOI 10.1111/avsc.12768)
  10. (en) Luís Gustavo de Paula SILVA, Klécia Gili MASSI, Marivaldo Garcia MARTINS, Tharcísio Pelosato NOGUEIRA, Jaurés Barbosa GUISARD, Rodrigo Leite Marco SANTOS, Jordano Roma BUZATI, Rodrigo DAMETTO, João Marcos PAIVA, Ádila Hanna Justiniana RODRIGUES, Natan Rodrigues Ferreira de MELO E SILVA, Marco Aurélio Silva LEITE, Marcos Pellegrini COUTINHO, Dalmo Arantes de BARROS et Soraya Alvarenga BOTELHO, « PHYTOSSOCIOLOGICAL ASSESSMENT OF A NATURAL REGENERATION SITE IN THE SOUTHEAST ATLANTIC FOREST BIOME », Rev. Inst. Flor., vol. 33, no 2,‎ , p. 182-191 (DOI 10.24278/2178-5031.202133207, lire en ligne)
  11. (en) Eduardo Pereira Cabral Gomes, Marie Sugiyama, Clóvis José Fernandes de Oliveira Junior, Helbert Medeiros Prado, Alexandre Antunes Ribeiro Filho et Cristina Adams, « Post-agricultural succession in the fallow swiddens of Southeastern Brazil », Forest Ecology and Management, vol. 475,‎ , p. 118398 (DOI 10.1016/j.foreco.2020.118398, lire en ligne)
  12. (en) Ângela Maria Klein Hentz, Ana Paula Dalla Corte, Carlos Roberto Sanquetta, Christopher Thomas Blum et Guilherme Camacho Cadori, « EDGE EFFECT ON A TREE COMMUNITY IN AN ARAUCARIA FOREST FRAGMENT IN BRAZIL », FLORESTA, Curitiba, PR, vol. 47, no 4,‎ , p. 407-416 (DOI 10.5380/rf.v47i4.53551, lire en ligne)
  13. (en) Rubia Tatiana Secco, Luiz Antônio Acra et Márcio Coraiola, « Natural regeneration in an area of shallow cut Pinus taeda check for this species in other resources L. », Ciência Florestal, vol. 29, no 1,‎ , p. 208-220 (DOI 10.5902/198050987521, lire en ligne)
  14. (en) Randall W. Myster, « Primary and Secondary Igapó Forests in the Peruvian Amazon: Floristics, Physical Structure and the Predictive Value of Soil Bulk Density », Journal of Plant Studies, vol. 8, no 1,‎ , p. 20-29 (DOI 10.5539/JPS.V8N1P20, lire en ligne)
  15. (en) Vagner S Vale, Glein M Araújo, Ivan Schiavini, Jamir A Prado-Jr et André Eduardo Gusson, « Dams consequences to the woody regeneration layer of dry forests », Natureza on line, vol. 12, no 1,‎ , p. 19-27 (lire en ligne)
  16. (en) Leandro da Silva Nascimento, Pâmella D. Nogueira-Souza, Roberto Rocha, Marcos Monteiro-Machado, Marcelo Abrahão Strauch, Simone A.L. Prado, Paulo A Melo et Valdir Veiga, « Phytochemical composition, antisnake venom and antibacterial activities of ethanolic extract of Aegiphila integrifolia (Jacq) Moldenke leaves », Toxicon, vol. 198,‎ , p. 121-131 (DOI 10.1016/j.toxicon.2021.05.004)
  17. (en) Luana Heimfarth, Leandro da Silva Nascimento, M´arcia de Jesus Amazonas da Silva, Waldecy de Lucca Junior, Emerson Silva Lima, Lucindo José Quintans-Junior et Valdir Florêncio da Veiga-Junior, « Neuroprotective and anti-inflammatory effect of pectolinarigenin, a flavonoid from Amazonian Aegiphila integrifolia (Jacq.), against lipopolysaccharide-induced inflammation in astrocytes via NFκB and MAPK pathways », Food and Chemical Toxicology, vol. 157,‎ , p. 112538 (DOI 10.1016/j.fct.2021.112538, lire en ligne)
  18. a et b Jean Baptiste Christian Fusée-Aublet, HISTOIRE DES PLANTES DE LA GUIANE FRANÇOISE, rangées suivant la méthode sexuelle, avec plusieurs mémoires sur les différents objets intéreſſants, relatifs à la culture & au commerce de la Guiane françoiſe, & une Notice des plantes de l'Iſle de France. volume I, Londres et Paris, P.-F. Didot jeune, Librairie de la Faculté de Médecine, quai des Augustins, (lire en ligne), p. 64-66

Références taxinomiques[modifier | modifier le code]

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