Christiane Jaquet-Berger
| Christiane Jaquet-Berger | |
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| Fonctions | |
|---|---|
| Conseillère nationale | |
| – (3 ans et 10 jours) |
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| Législature | 45e |
| Groupe politique | Socialiste (S) |
| Commission | CdF |
| Prédécesseur | Josef Zisyadis |
| Successeur | Josef Zisyadis |
| Députée au Grand Conseil du canton de Vaud | |
| – (8 ans) |
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| – (30 ans) |
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| Biographie | |
| Nom de naissance | Christiane Berger |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Lausanne |
| Nationalité | Suisse |
| Parti politique | Parti ouvrier populaire |
| Profession | Institutrice |
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Christiane Jaquet-Berger, née le à Lausanne (originaire de Vallorbe et Éclépens), est une personnalité politique suisse, membre du Parti ouvrier populaire (POP). Elle est députée du canton de Vaud au Conseil national de à .
Biographie[modifier | modifier le code]
Christiane Jaquet-Berger naît Christiane Berger[1] le à Lausanne. Elle est originaire de deux autres communes vaudoises, Vallorbe et Éclépens[2].
Elle est institutrice de formation[3]. Elle crée et dirige pendant dix ans la radio lausannoise Acidule dans les années 1980[3].
Elle est mariée à Carlo Jaquet et mère de deux enfants[1].
Parcours politique[modifier | modifier le code]
Elle n'entre en politique qu'à l'âge de 40 ans[1].
Elle siège au Grand Conseil du canton de Vaud pratiquement sans interruption de 1978[4] à 2017[3]. Elle le préside en 2005 et devient ainsi la première popiste à y occuper le perchoir[1]. Elle est également membre du Conseil communal (législatif) de Lausanne de 1993 à 1996[2].
Elle remplace Josef Zisyadis, élu au Conseil d'État du canton de Vaud, au Conseil national le [5],[2]. Elle y siège à la Commission des finances (CdF), au sein du groupe socialiste[2]. Comme son prédécesseur, elle multiplie le dépôt d'interventions parlementaires[6]. Candidate à sa réélection en 1999, elle n'est pas réélue, obtenant moins de la moitié des suffrages de Josef Zisyadis, qui se représentait[7].
Autres mandats[modifier | modifier le code]
Elle est présidente de l'Association suisse de défense des aînés[3].
Références[modifier | modifier le code]
- Yelmarc Roulet, « Portrait. Christiane Jaquet, présidente: une première au parlement vaudois », Le Temps, (lire en ligne)
- « Biographie de Christiane Jaquet-Berger », sur le site de l'Assemblée fédérale suisse.
- Patrick Chuard, « Christiane Jaquet-Berger, l'infatigable militante », 24 heures, (ISSN 1424-4039, lire en ligne, consulté le )
- Esther Mamarbachi, « Christiane Jaquet Berger, première présidente communiste suisse », Le Temps, (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
- Denis Barrelet, « Christiane Jaquet : premier pas d'une nouvelle venue », 24 heures, , p. 14 (lire en ligne [PDF])
- Denis Barrelet, « Élections fédérales », 24 heures, , p. 2 (lire en ligne [PDF])
- Chantal Tauxe et Jean-Marc Rappaz, « Plus mâle et moins lémanique », 24 heures, , p. 19 (lire en ligne [PDF])
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressources relatives à la vie publique :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
