Chronologie des alternatives (XVIIIe siècle)

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On trouvera ci-après la chronologie des alternatives des matadors du XVIIIe siècle ayant laissé quelque trace dans l’histoire de la corrida, avec, dans la mesure du possible, les noms du parrain et du témoin de la cérémonie ainsi que celui de la ganadería (élevage)[1].

1734[modifier | modifier le code]

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1738[modifier | modifier le code]

  • Bernardo Alcalde y Meríno alias « El Licenciado de Falces » alias « El Estudiante de Falces ». Pampelune (Navarre). Pas de « cession des trastos ». Il semble ne s’être jamais présenté à Madrid.

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1743[modifier | modifier le code]

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1748[modifier | modifier le code]

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1758[modifier | modifier le code]

  • 25 mai : José Candido Esposito. Madrid. Parrain « El Malagueño » (selon d’autres sources, « Lorencillo ») ; témoin, Juan Esteller. Son alternative semble être la première qui ait été conférée.

1759[modifier | modifier le code]

1763[modifier | modifier le code]

1764[modifier | modifier le code]

1767[modifier | modifier le code]

1769[modifier | modifier le code]

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1796[modifier | modifier le code]

1799[modifier | modifier le code]

1800[modifier | modifier le code]

Sources[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Aucune liste exhaustive ne semble possible : nombre de matadors ont pris l’alternative, sans que leur notoriété ait jamais dépassé les frontières de leur province, voire celles de leur village, et n’ont pas laissé la moindre trace dans l’histoire.
  2. Jusqu’au milieu du XIXe siècle, nombre de matadors ont acquis leur titre sans qu’ait eu lieu la cérémonie de l’alternative, la « cession des trastos » (les « instruments », l’épée et la muleta). Ces « alternatives » sans « cession des trastos » seront quand même signalées.
  3. Jusqu’au milieu du XIXe siècle, la date de l’ancienneté n’était pas fixée avec précision. Selon certains, elle dépendait de la date de la première corrida en qualité de matador, selon d’autres, de la date de la première corrida à Madrid. Ainsi l’ancienneté d’un matador pouvait être différente selon la ville dans laquelle il se produisait. De plus, la renommée des matadors influençait leur ancienneté : les plus renommés arrivaient à imposer comme date d’ancienneté, dans toutes les arènes, leur première corrida en qualité de matador ; les autres étaient obligés de suivre la règle commune.