Cinéma uruguayen

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Cet article retrace l'histoire du cinéma uruguayen et évoque ses principales personnalités.

Histoire du cinéma uruguayen[modifier | modifier le code]

En Uruguay, depuis les débuts du cinéma, on compte un peu plus de 50 longs métrages de fiction[réf. nécessaire]. Le premier d'entre eux semble difficile à identifier de façon sûre. Il pourrait s'agir de Pervanche de León Ibáñez Saavedra (grand-oncle de l'ancien président uruguayen Jorge Batlle Ibáñez), mais ce film de 1919 a été détruit[1] par le mari jaloux de l'actrice principale[réf. souhaitée]. Auparavant quelques documentaires avaient été tournés, notamment par le cinéaste d'origine catalane, Félix Oliver.

De fait, Almas de la costa (1923) est souvent considéré comme "le premier film uruguayen"[2], mais par la suite plusieurs autres films seront désignés ainsi, comme si le monde redécouvrait à chaque fois le cinéma uruguayen.

Une école de cinéma est créée en 1994[3].

Les années 2000 ont été particulièrement fastes, avec Putain de vie, 25 Watts et Whisky, qui remporte une série de récompenses dans les festivals internationaux.

Actuellement on tourne environ cinq longs métrages par an dans le pays[réf. nécessaire].

Films[modifier | modifier le code]

Cinéma documentaire[modifier | modifier le code]

Séries de télévision[modifier | modifier le code]

Personnalités du cinéma uruguayen[modifier | modifier le code]

Réalisateurs et réalisatrices[modifier | modifier le code]

Carlos Alonso - Diego Arzuaga - Marcelo Bertalmio - Alvaro Buela - Pablo Dotta - Aldo Garay - Mario Handler - Juan Pablo Rebella - Juan Carlos Rodriguez Castro - Esteban Schroeder - Beatriz Flores Silva - Pablo Stoll - Ugo Ulive (es) - Ana Guevara Pose - Leticia Jorge Romero - Gustavo Hernández - Emanuel K. Miranda - Fede Álvarez -

Acteurs et actrices[modifier | modifier le code]

Critiques[modifier | modifier le code]

Institutions[modifier | modifier le code]

Formations[modifier | modifier le code]

Distinctions[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. Lilia Oliveira, « Georgina Torello, La conquista del espacio – Cine silente uruguayo (1915-1932) », 1895. Mille huit cent quatre-vingt-quinze, no 91,‎ , p. 182-186 (DOI https://doi.org/10.4000/1895.8070)
  2. Gabriela Trujillo, « Almas de la costa - Juan Antonio Borges », cinematheque.fr (consulté le )
  3. Ángela Viglietti, « Le cinéma uruguayen et les mécanismes de développement à partir des années 1990 », Cinémas d’Amérique latine, no 26,‎ , p. 180-191 (DOI https://doi.org/10.4000/cinelatino.5304)

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • (es) Margarita Pastor Legnani et Rosario Vico De Pena, Filmografía urugaya (1898-1973), Cine Universitario del Uruguay/Cinemateca Uruguaya, 1973.
  • (fr) Guy Hennebelle et Alfonso Gumucio-Dagron (sous la direction de), Les Cinémas de l'Amérique latine, préface de Manuel Scorza, avant-propos d'Edouard Bailby et de Louis Marcorelles, Éditions Lherminier, , 544 p.
  • (es) Eugenio Hintz et Graciela Dacosta, Historia y filmografía del cine uruguayo, Montevideo, Ediciones de la Plaza, 1988.
  • (es) Juan Pablo Lepra, Navegar en Imágenes: La historia de Félix Oliver y los primeros años del cine en el Uruguay, Universidad Católica del Uruguay, 2002.
  • (fr) Ángela Viglietti, « Le cinéma uruguayen et les mécanismes de développement à partir des années 1990 », Cinémas d’Amérique latine, no 26,‎ , p. 180-191 (DOI https://doi.org/10.4000/cinelatino.5304)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Listes et catégories[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]