Club de restauration

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Un club de restauration[1] – en anglais dining club – est un club, qui requiert généralement une adhésion (qui peut être sélective), qui se réunit pour des dîners et des discussions régulièrement. Ils ont aussi parfois des invités.

Les Coefficients club, The Other Club et Ratio Club en sont des exemples.

Club de restauration[modifier | modifier le code]

Un club de restauration n'est pas à confondre avec un gentlemen's club, car il ne dispose pas de locaux permanents et change souvent les lieux de ses rencontres et de ses dîners, ni avec le social dining ou dîner social dont la philosophie est de partager un repas avec des connaissances ou des inconnus[2].

Ces clubs peuvent limiter leur accès à des critères très discriminatoires, c'est le cas du Coningsby Club qui n'accepte que des membres soit de l'OUCA (en) soit de la CUCA (en), les associations conservatrices des universités d'Oxford et de Cambridge respectivement[citation nécessaire]. D'autres sélectionnent leur candidat à l'issue d'une entrevue ou peuvent leur demander de payer des frais d'adhésion.

Aux États-Unis, les clubs qui limitent leur nombre d'adhérents aux étudiants d'une certaine université sont qualifiés d'eating club (en). Ils sont largement remplacés par les fraternités étudiantes aux États-Unis, les eating club n'existent plus que dans certains universités et certaines facultés, notamment l'Université de Princeton.

Les clubs de restauration échangent souvent avec d'autres clubs du pays ou à l'international. Certains sont en mesure d'avoir des relations avec des clubs sociaux privés avec plus de facilité, ce qui leur permet de disposer de plus que des seules salles pour dîners, par exemple de disposer de chambres pour les invités spéciaux et même une salle de gym. C'est le cas du Penn Club of New York City (en) qui a des liens avec l'Indian House Club au 1 Hanover Space (en).

Liste des clubs[modifier | modifier le code]

(Liste non exhaustive, classée par dates de création).

Fondations au 18e siècle

Fondations au 19e siècle

Fondations au 20e siècle et 21e siècle

Fiction[modifier | modifier le code]

Sources[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. Exemple d'emploi du terme
  2. Marketplaces de la Food Tech qui cartonnent dans le social dining, publié le par Marine Chatelier, sur le site kreezalid.com (consulté le 11 janvier 2019)
  3. (en) Government of Canada, « Canadian Clubs and Organisations in the UK »,
  4. (en) « Home - Trinity Dining Club London », sur Trinity Dining Club (consulté le ).
  5. (en) « The Whitefriars Club », sur The Whitefriars Club (consulté le ).
  6. « Canadian Club of Hamilton », Toronto Globe,‎
  7. « About the Canadian Club »,

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • La loi de l'impôt sur le revenu, Chambre des Communes du Parlement canadien, (lire en ligne)