Discussion:Consanguinité

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Liens utiles pour la rédaction de l'article[modifier le code]

http://www.planetegene.com/view/genetique-et-consanguinite

http://atlasgeneticsoncology.org/Educ/ConsangFr.html

http://www.braquedubourbonnais.info/fr/calcul-consanguinite.htm — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 78.114.141.32 (discuter), le 14 juillet 2010 à 01:31 (CEST)[répondre]

objectivité ?[modifier le code]

Cet article manque cruellement d'objectivité.

Les dangers de la consanguinité sont réels.

Toutes les sociétés interdisent les relations incestueuse, ce n'est pas une question de culture. Commentaire : s'arrêter à ce propos est malhonnête ou maladroit. En effet, il faut préciser que chaque société interdit l'inceste mais que ces mêmes sociétés n'ont pas nécessairement la même définition de la notion de parenté. Dès lors, ce qui, pour une société particulière, pourrait ne pas être de l'inceste pourrait très bien l'être pour une autre société donnée.

Même les animaux évitent l'inceste instinctivement ou soocialement. (source, par exemple : http://www.springerlink.com/content/x34nk04467m471g1/ )

Je reviendrai modifier l'article plus tard.

--Hephaestos le Bancal 21 décembre 2006 à 13:20 (CET)[répondre]

Il faut un peu arrêter avec les épouvantails. Les dangers de la consanguinité - la réduction de l'hétérozygotie - sont connus et se calculent par différentes formules. Clair que des caractères pathologiques se camouflent sur des allèles récessifs, néanmoins la consanguinité augmente et le taux de potentiels caractères pathologique exprimés en situation homozygote comme de potentiels caractères favorables... C'est donc surtout la "diversité" allélique qui est réduite par la consanguinité mais elle n'est pas tant nécessairement un danger, sinon une augmentation des probabilités de rencontres d'allèles récessifs (pouvant résulter en caractères défavorables, pathologiques lorsqu'il y en a dans la lignée familiale ! comme pourquoi pas favorables). L'objectivité serait non pas de proposer un épouvantail comme consanguinité = danger, mais plutôt consanguinité = probabilité accusée (de "rencontres" d'allèles récessifs) d'homozygotie.
Et puis si une relation incestueuse - seulement lorsqu'elle donne des bébés - est par définition forcément consanguine, consanguinité n'est qu'un % de parenté (nous sommes tous consanguins à des taux différents...), et non pas un synonyme d'inceste. Gromiko (discuter) 4 novembre 2014 à 17:06 (CET)[répondre]
Si besoin de clarifier avec des exemples, il y a la source suivante: http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/05/01/au-maroc-ces-enfants-malades-des-unions-consanguines_5120559_3212.html

Quelqu'un peut-il prendre la suite[modifier le code]

J'ai corrige le premier paragraphe. Quelqu'un peut-il se charger du deuxième? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 192.19.199.203 (discuter), le 5 juillet 2007 à 18:10 (CEST)[répondre]

La consanguinité fut interdite uniquement aux individus du peuple par les puissantes familles princières et l'église catholique, ceci afin d'empêcher l'accumulation de richesses dans les classes populaires. Cependant du temps de l'Egypte ancienne les Pharaons se mariaient entre frères et soeurs pour accroître leur tout-puissant pouvoir. En Europe nos monarques n'ont fait que pratiquer la consanguinité à longueur de siècle. Jusqu'à présent rien ne prouve d'après notre science médicale actuelle, que la consanguinité est un mal, mis à part quelques exceptions.— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 81.243.208.222 (discuter), le 20 mars 2008 à 19:24 (CET)[répondre]

Je suis désolée, mais les animaux n'évitent pas systématiquement l'inceste, entre autres je ne peux parler que de ce que je connais, mais les rongeurs en cage qui ont des "besoins" de reproduction s'adressent au partenaire le plus proche, et surtout surtout les chats, que je connais et adore depuis 50 ans ne font pas de sentiment quand il s'agit de répondre à une sollicitation reproductrice, ce sont de charmants tigres gracieux, mais ils n'hésitent pas à faire des bébés avec maman, leur fils..... Par contre je monte depuis pas mal d'années mon arbre généalogique, et rapidement on se retrouve dans des villages où "bonjour ma cousine, bonjour mon cousin germain"... et j'ai constaté que certains foyers ont été dévastés par ce phénomène, par exemple j'ai trouvé aujourd'hui une branche où 3 enfants d'un couple de petits cousins sont morts entre 3 jours et 6 mois... La technologie gyneco actuelle éviterait peut être ces drames, mais à quel prix? Bref, juste mon expérience. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 62.34.9.180 (discuter), le 18 avril 2012 à 19:58 (CEST)[répondre]

objectivité ?[modifier le code]

Je vois que l'obscurantisme regne toujours autant... non seulement c'est un mythe absurde et sans fondement, mais la fin de l'article est a reviser car il emet une hypothese du contraire... Absurde et irreel autant que toute les theses inverses, fiez vous a des etudes pas a une portée de cochon d'inde sans doute malade, ni a des racontard (ouh la rousse c'est une vilaine sorciere...) pathetique franchement... — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 77.192.208.152 (discuter), le 30 août 2007 à 12:52 (CEST)[répondre]

objectivité ![modifier le code]

Bien sur que la consanguinite peut poser des problemes, ce n'est pas un mythe.— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 217.10.60.85 (discuter), le 7 avril 2008 à 11:58 (CEST)[répondre]


objectivite[modifier le code]

Bonjour a tous !

La consanguinite peut entrainer des degenerescences, c est evident. Maintenant, je trouve ca vraiment malsain de faire une etude sur une population des hautes pyrennees et publier ouvertement que 80% de cette population serait atteint de malformation, c est honteux et irrespectueux... Si vous voulez en savoir plus sur la consanguinite, il faut s en referer a la theorie des chemins qui expliquent que l on evite tout risque majeur a partir du moment ou vous n etes pas au moins cousin germain vous et votre conjoint, ce qui veut dire qu etre cousin issu germain et marie pourrait etre tolerable bien que tout de meme risque. Par contre, je ne crois pas que le fait d avoir des ancetres ayant effectues des mariages consanguins puissent avoir des repercussions encore aujourd hui. De nombreux nobles se sont maries entre eux a l epoque, de meme que de nombreux agriculteurs, et ces deux classes sociales ne souffrent d aucune degenerescences aujourd hui bien evidemment. Les parents de Henry de toulouse Lautrec etaient cousins et ce dernier etait pourtant un des meilleurs litographe de son epoque, bien qu atteint de nanite...— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 83.198.136.67 (discuter), le 13 juin 2008 à 14:19 (CEST)[répondre]

Objectivité[modifier le code]

Utilisons l'anthropologie pour corriger certaines errances... Selon Claude Lévi-Strauss, l'interdiction de l'inceste est bien une caractéristique humaine, c'est-à-dire que toutes les sociétés humaines établissent des règles concernant le mariage et/ou la reproduction. Il ne se demande pas forcément si l'interdiction provient d'intuition d'exogamie ou bien sur des volontés patrimoniales (il est à noter que ces interdictions existent également dans des sociétés où les richesses sont communes, mais couplées à des interdictions d'exogamies fortes vis-à-vis des étrangers à la communauté). Cependant, ces règles diffèrent très fortement selon les sociétés. Si nous nous penchons sur l'étude sur la société baruya menée par Godelier, nous nous apercevons qu'est recommandé un mariage avec la fille de la soeur de son père. Des prescriptions de mariage homogame se retrouve dans beaucoup de société (musulmane, japonaise...). S'agit-il uniquement de volontés de préserver les richesses au sein d'une même famille? Peut-être. Je rappellerais juste que l'homogamie a été, à une époque, interdite par l'Eglise jusqu'au 9ème degré (j'ai oublié la date de la bulle papale... si quelqu'un pouvait me la donner...), ce qui était absolument impossible à appliquer, dans n'importe quelle couche de la société, ne serait-ce pour des raisons de méconnaissances généalogiques. La notion d'homogamie est donc une norme sociale. Maintenant, on peut discuter effectivement sur le bienfait, ou non, de cette norme. Sur ce point, la génétique peut nous renseigner. Il est évident qu'en cas d'allèle défaillant (ce que chacun d'entre nous possède), les risques de propagation sont beaucoup plus accentués. A quel niveau cela devient-il dangereux/risqué? Des sociétés homogames existent depuis des millénaires, et ce n'est pas pour cela qu'elles ont disparues, et elles ne sont pas plus tarées que d'autres. Il serait peut-être bon de rajouter ces études dans l'article, ne serait-ce que pour préciser que les normes de consanguinité sont sociales, et qu'elles seront donc arbitraires (même si fondées sur la génétiques : à quel moment un risque devient-il dangereux? 5%? 10%?). Je pense donc que dire qu'il s'agit d'un mythe est déplacé : il s'agit d'une construction sociale, que la génétique renforce. Après, il existe des sociétés qui sont consanguine depuis des générations... --Hellem (d) 14 mars 2009 à 12:57 (CET)[répondre]

Modification 2010 _ Partie biologie/écologie[modifier le code]

Bonjour !

Je viens de modifier la partie biologie et surtout écologie de l'article, les sciences humaines n'étant pas mon domaine, je laisse à d'autres le soin d'améliorer cette section (je la laisse inchangée)! Voilà ! — Le message qui précède, non signé, a été déposé par GpeMU205 (discuter), le 15 octobre 2010 à 23:42 (CEST)[répondre]

Pour les matheux ![modifier le code]

La définition de la consanguinité dans l'article part d'emblée dans des formules mathématiques et se réfère à un "schéma ci-contre" qui n'existe pas. Ne serait-il pas plus abordable dans une encyclopédie grand public de commencer par des exemples simples (entre frère et soeur, parents et enfants, oncles/tantes et neveux/nièces, cousins germains) avant de généraliser à l'échelon n ?

Avis aux spécialistes, dont hélas je ne suis pas.

-- Jplm Répondez de préférence ici, sinon : Discussion 11 septembre 2012 à 15:31 (CEST)[répondre]


Il y a un exemple simple à 25% dans cet article. http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/05/01/au-maroc-ces-enfants-malades-des-unions-consanguines_5120559_3212.html

"Universalité" toute relative[modifier le code]

" Claude Lévi-Strauss est le fondateur du structuralisme en publiant sa thèse (les structures élémentaires de la parenté, 1955) dans laquelle il montre que toute société structure les liens de parentés de manière différente afin d'éviter l'inceste, lequel est un tabou universel. "

Cette "universalité" semble épargner les pharaons, où le mariage entre frère et soeur était davantage la règle que l'exception. Le mythe du frère-époux se retrouve d'ailleurs dans la mythologie égyptienne et perdurera jusqu'à Cléopâtre, elle-même fille d'un frère et d'une soeur. Cela explique peut-être aussi lka brièveté des dynasties égyptiennes : 34 en 3400 ans, non ? On est loin de la longévité de la dynastie capétienne. 82.226.27.88 (discuter) 1 novembre 2018 à 22:14 (CET)[répondre]

Article à reprendre entièrement[modifier le code]

Cet article part sur une définition erronée de la consanguinité, confondant consanguinité et produit d'union consanguine. Merci de jeter un œil à l'article en anglais par exemple ainsi qu'à un dictionnaire. La consanguinité est la relation entre deux individus partageant un ascendant commun. Si vous en êtes d'accord, je veux bien revoir l'introduction mais je suis anthropologue, pas biologiste ni éleveur ni généticien, donc il faudrait que des experts de la reproduction corrige ce texte en conséquence.