Discussion:Isaac Bashevis Singer

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Salut, Il faudrait mettre un "paragraphe !?" de la corélation, les sentiments que I-B-S avait pour les Animaux... Merci

Pourquoi à chaque fois que je fais ou plutôt que j'essaye de faire un paragraphe sur Isaac et les Animaux, certains se croivent permits de la supprimer !? Est-ce que les relations entre Isaac et les Animaux dérangent-elles ? Est-ce contraire aux règles de ses lieux. Serais-je un renegat ? La moindre des choses serait d'en discuter dans cette rubrique avant de supprimer... surtout venant de personne(s) me sembe-il font parti même du site...

Pourrais-je avoir une explication...


Quelqu'un aurait-il l'amabilité de traduire ce texte : (merci d'avance)

Isaac Bashevis Singer et les Animaux Isaac was a prominent vegetarian for the last 35 years of his life and often included such themes in his works. In his short story, The Slaughterer, he described the anguish that an appointed slaughterer had trying to reconcile his compassion for animals with his job of slaughtering them. He felt that the eating of meat was a denial of all ideals and all religions: "How can we speak of right and justice if we take an innocent creature and shed its blood". When asked if he had become a vegetarian for health reasons, he replied: "I did it for the health of the chickens."

Singer est un végétarien notoire pendant les 35 dernières années de sa vie, et ce thème apparaît dans plusieurs de ses oeuvres. Une de ses nouvelles L'équarisseur, décrit l'angoisse d'un équarisseur qui tente de réconcilier son amour des animaux et ses obligations professionnelles. Il trouve que manger de la viande est la négation de tous les idéaux et de toutes les religions. "Comment pouvons nous parler de justice tout en versant le sang de créatures innocentes ? " Quand on lui demande s'il est devenu végétarien pour des raisons de santé, il répond "Oui. Pour la santé des poulets."'--Anne 26 octobre 2006 à 20:57 (CEST)[répondre]

Merci,mais tu as oublié ce texte

Non, je ne l'ai pas oublié. C'est juste que j'avais autre chose à faire. --Anne 27 octobre 2006 à 06:40 (CEST)[répondre]

In The Letter Writer, he wrote "In relation to [animals], all people are Nazis; for the animals, it is an eternal Treblinka" [1].

In the preface to Steven Rosen's "Food for Spirit: Vegetarianism and the World Religions" (1986), Singer wrote, "When a human kills an animal for food, he is neglecting his own hunger for justice. Man prays for mercy, but is unwilling to extend it to others. Why should man then expect mercy from God? It's unfair to expect something that you are not willing to give. It is inconsistent. I can never accept inconsistency or injustice. Even if it comes from God. If there would come a voice from God saying, "I'm against vegetarianism!" I would say, "Well, I am for it!" This is how strongly I feel in this regard."



Quelles en sont les sources ?
tout simplement :(même si je sais pas si je suis autoriser) en:Isaac Bashevis Singer
C'est un article qui manque lui-même de sources. Mais on verra ce qu'on peut faire...
C pourtant connu et reconnnu... une autre preuve si tenter que celà pour vous en soi une :

Un livre prétend lui rendre hommage :Charles Patterson, auteur d’Éternel Treblinka : Notre Traitement des Animaux et l’Holocauste. (Théodore W. Adorno a fait le même parrallèle. Je dédirais un paragraphe plus tard)

AUSCHWITZ COMMENCE LORSQUE QUELQU'UN REGARDE UN ABATTOIR ET SE DIT: CE NE SONT QUE DES ANIMAUX Cette phrase, souvent citée, ne figure nullement dans l'oeuvre d'Adorno. Elle correspond à l'interprétation du §68 des Minima moralia d'Adorno par Charles Patterson (dans Eternal Treblinka).

Ou encore Helmut Kaplan dont je ferai un article plus tard. Helmut Kaplan : « Un jour, nos petits-enfants nous demanderont : où étais-tu pendant l'Holocauste des animaux ? Qu'as-tu fait contre ces crimes horribles ? Nous ne pourrons donner la même excuse une seconde fois, dire que nous ne savions pas. »

et Albert Kaplan: Les interviews s'enchaînent pour conclure sur cette remarque pessimiste d'Albert Kaplan, fils de Juifs russes : « La grande majorité des survivants à l'Holocauste est carnivore et ne s'intéresse pas plus à la souffrance des animaux que les Allemands se préoccupaient de la souffrance des Juifs. Qu'est-ce que cela signifie ? Laissez-moi vous le dire. Cela signifie que nous n'avons rien appris de l'Holocauste. Rien. Tout cela pour rien. Il n'y a aucun espoir » http://www.cahiers-antispecistes.org/article.php3?id_article=213

Bonjour. Pour la personne ci-dessus : Pensez à signer vos interventions, svp. Bref : J'ai ajouté ce qui suit à l'article. Isaac Singer est notamment connu pour ce parallèle qu'il évoque entre les mécanismes psychologiques de l'horreur de l'exploitation animale et ceux de l'horreur de la Shoah, et il est évident que cet article doit le mentionner. Aridd (discuter) 18 août 2021 à 14:53 (CEST)[répondre]
« Dans son roman de 1966 Enemies, A Love Story (en), le personnage principal, Herman, un survivant de la Shoah, songe à la vue de la mise à mort d'animaux et de poissons que « Par leur comportement envers les créatures, tous les hommes sont des nazis »[1]. Singer reprend ce thème en 1982 dans son histoire courte "The Letter Writer", avec cette phrase devenue célèbre : « Pour ces créatures, tous les êtres humains sont des nazis ; pour les animaux, c'est un éternel Treblinka »[2]. L'expression « un éternel Treblinka » est reprise notamment par l'historien Charles Patterson qui en fait le titre d'un livre où il explore la violence industrialisée contre les animaux et celle infligée aux juifs par la Shoah[3]. La philosophe Élisabeth de Fontenay rappelle à cette occasion qu'« il ne faudrait pas oublier que beaucoup d'auteurs juifs d'après 1945 ont osé la comparaison : Adorno et Horkheimer, Derrida, Canetti, Grossman, Gary, entre autres, ont été obsédés par la douleur animale et par sa proximité avec la souffrance des persécutions par les nazis »[3]. »
  1. « As often as Herman had witnessed the slaughter of animals and fish, he always had the same thought: In their behavior toward creatures, all men were Nazis. The smugness with which man could do with other species as he pleased exemplified the most extreme racist theories, the principle that might is right. » dans son livre Enemies, A Love Story (ASIN: B0000DS8XZ) ( (ISBN 0-374-51522-0)).
  2. (en) Isaac Singer, "The Letter Writer", Collected Stories, 1982, p.71
  3. a et b (en) Élisabeth de Fontenay, « Charles Patterson : l'abattage, un laboratoire de la barbarie », Le Monde, 10 janvier 2008