Discussion:Moshé Sharett

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la création de fausses archives de Ben gourion a été démontré par les services d'archives aprés enquete.

L’ampleur des disparitions de documents d’archives est particulièrement impressionnante au sein de deux ministères. falsification des archives par les utilisateurs

La lettre de Ben Gourion à son fils Amos datant du 5 octobre 1937 est, sans nul doute, l’exemple israélien le plus connu de falsification d’archives. Un large consensus se dessine autour de cette lettre : tous les spécialistes s’accordent aujourd’hui à dire qu’elle a été falsifiée entre le moment où elle a été écrite et la fin des années 70, alors qu’elle était déposée aux archives de l’État d’Israël. Le document original porte effectivement une biffure : une phrase et demie a été gribouillée à l’encre. Grâce à des techniques modernes, la maison d’édition a réussi à restaurer la version intégrale, en faisant réapparaître les mots cachés. Ben Gourion écrivait à son fils : « Nous devons expulser les Arabes et prendre leur place… ». La version originale restaurée affirme exactement le contraire. En réalité, Ben Gourion a écrit : « Nous ne devons pas expulser les Arabes et prendre leur place… ». La négation ayant été supprimée, le sens de la phrase a été totalement corrompu, et de nombreux chercheurs israéliens, abusés, ne doutant pas de son authenticité, ont utilisé ce document dénaturé tel quel dans leurs travaux.

Des palestinistes ont fait de nombreuses fausses archives, reprises. Les palestiniens ont partis d'eux meme, sur ordre de leurs chefs militaires et religieux (sources, toute la presse arabe de l'époque). les israéliens ne voulaient pas les déplacer, au contraire.Ben gourion fait un appel

Benny Morris rédigea, en 1996, un article pour la revue israélienne Alpaïm, dans lequel il évoqua cette manipulation de document, et reprocha à Chabtaï Teveth d’avoir diffusé, en anglais et dans le monde entier, la phrase estropiée de Ben Gourion, alors qu’il avait visiblement eu connaissance de la version originale.

L’historien Karsh,  enseignant à Londres, n’hésita pas à insinuer, en dépit des évidences, que Benny Morris était l’auteur de cette falsification.