Discussion:Pogonophora

	Tâches à accomplir pour Pogonophora	aide
	Votre aide est la bienvenue pour corriger les liens, présents dans l'article, vers les pages d'homonymie Pinnule , Septa ⇒ Quelques explications pour effectuer ces corrections. -- 23 mai 2020 à 15:54 (CEST)

Longévité

Cette modif (anonyme, hélas !) introduisit en 2014 le passage suivant :

Les pogonophores ont une durée de vie extrêmement longue : ces animaux peuvent vivre jusqu’à 200 000 ans, faisant d'eux la forme de vie animale possédant la plus grande longévité.

ce que @Keizer51 affubla d’un « ^{[réf. nécessaire]} » bien dû. La question de la longévité des vers pogonophores étant l’un de mes principaux centres d’intérêts, je me mis en devoir d’explorer l’internet. La quête fut ardue car peu de pages semblent aborder le sujet (tabou ?), mais je parvins ultimement sur cette source secondaire, où l’on lit :

Seep vestimentiferans are usually thinner, have slower growth rates, and have greater longevity than their vent relatives [10]. For example, a 2-m-long Lamellibrachia luymesi individual is estimated to be more than 200 y old and hence represents the longest-lived animal on earth [11,12].

Ainsi non seulement je trouvai la plus raisonnable longévité de 200 ans, mais en outre j’obtins deux sources primaires [11, 12]. Je ne les pus point lire, étant d’accès payant, mais je trouvai dans le résumé de la première :

Here we show that one of the creatures living around hydrocarbon seeps on the Louisiana continental slope, the ecosystem-structuring vestimentiferan tubeworm, Lamellibrachia sp., requires between 170 and 250 years to grow to a length of two metres. This amazingly slow growth is in marked contrast with that of its vent relatives, who are among the fastest-growing invertebrates on the planet [4]. It also makes Lamellibrachia sp. the most long-lived non-colonial marine invertebrate known.

La modif incriminée et la source secondaire parlent du plus longévif des animaux, mais la source secondaire se contente de parler des invertébrés marins non‐coloniaux. Dans le doute, je ne me fiai qu’à cette affirmation plus faible. C’est ainsi que ma modif produisit le paragraphe suivant, agrémenté desdites sources :

La longévité des pogonophores est remarquable : certains peuvent vivre 200 ans, ce qui fait d'eux les invertébrés marins non‐coloniaux possédant la plus grande longévité.

Si je narre ici mon épique exploration, c’est que je ne suis point biologiste, loin s’en faut, et qu’une vérification serait très indiquée.

— Maëlan 29 juin 2017 à 23:48 (CEST)

L’an dernier une IP a remplacé à nouveau « 200 ans » par « 200 000 ans » mais, comme aucune explication n’a été fournie et que ça contredit les sources données à la fin de cette même phrase, j’ai annulé. — Maëlan, le 18 novembre 2021 à 19:31 (CET)