Discussion:Sonate pour piano no 14 de Beethoven

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Sans titre[modifier le code]

Je m'étonne que vous donniez à la Sonate dite"Clair de Lune" de Beethoven l'appellation"AU Clair de Lune".Etant pianiste et aayant moi-même joué cette sonate,j'ai toujours eu comme information que cette appellation,très souvent utilisée,était une erreur.

ok, je corrige en ce sens Nguyenld 15 juillet 2005 à 15:54 (CEST)[répondre]

pédale forte[modifier le code]

bonjour

"L'effet de cette pédale n'étant pas identique sur les pianos modernes, le jeu doit en être adapté."

Un pianiste pourrait-il m'en dire plus, svp ?

merci d'avance

Korbus 30 janvier 2007 à 10:25 (CET)[répondre]

L'indication "sempre pp et senza sordino" signifie qu'il faut jouer le mouvement avec les étouffoirs levés du début à la fin, cas remarquable de pédalisation continue. De nos jours, les pianistes aménagent la consigne en renouvelant la pédale à chaque changement d'harmonie comme pour toute partition romantique, mais l'effet demandé, reprenant une émise par CPE Bach dans son "Versuch" ("Essai sur la véritable manière de jouer les instruments à clavier"), est réalisable sur un instrument viennois du début du XIXe siècle, à condition de pratiquer un toucher très subtil. Bien cordialement --Nicolas Messina (d) 6 décembre 2009 à 20:24 (CET)[répondre]


l'appelation "claire de lune"[modifier le code]

"Ce dernier voyait dans le premier mouvement de cette sonate l'évocation d'une « barque au clair de lune sur le Lac des Quatre Cantons »"

C'est drôle moi je vois pas ça du tout je vois plutôt le pôle nord. J'ai écris un truc en m'inspirant de cette chanson, la première chose qui m'est venue est la banquise du pôle le soleil rasant le calme et le vaste, le froid et la solitude. Après chacun son interprétation. Quoi qu'il en soit je trouve dommage que le nom de la sonate ne soit pas selon l'"interprétation" de son propre créateur.

zar2 28 juin 2008 à 00:46 (CET)[répondre]

Une autre interprétation des trois mouvements[modifier le code]

Il est bien documenté que le premier mouvement est né à l’occasion de la mort d’un ami. De là à dire qu’il s'agit d’une lamentation ! Cette interprétation conduit à une impasse quand il s’agit de faire le lien avec les deux mouvements suivants qui ne sont pas là par hasard et qui n’ont rien à voir avec la mort ou la lamentation. Marche funèbre, bouquet de fleurs, colère ? Cela ne fonctionne pas. Du coup le premier mouvement est joué comme la Lettre à Élise. Le second n’est pratiquement pas joué. Le troisième sert d'épreuve de virtuosité. Beethoven a certainement été secoué par le deuil de son ami mais a transcendé cette émotion, en compositeur cherchant à faire émerger le sens de la vie, avec un triptyque, « douceur, gaieté, passion », qui regroupe les trois catégories qui marquent le bonheur de la vie et de la Fraternité (son leitmotiv) qui ne se comprend qu’à plusieurs. L’unité harmonique de l’œuvre où des correspondances se retrouvent dans l’écriture des trois mouvements, la volonté d’y voir une fantasia, c’est-à-dire un mouvement qui ne doit pas être trop canalisé dans une structure figée, conforte cette vision qui aide beaucoup à exécuter la sonate comme un tout. Beethoven a laissé libre l’interprétation en ne donnant aucune vraie indication. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 81.48.178.6 (discuter), le 2 mai 2021 à 00:06 (CEST)[répondre]