Discussion:Zaïre

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n'y a t'il pas aussi un fleuve Zaire?

Voir page d'homonymie
Il s'agissait du fleuve Congo rebaptisé Zaïre sous Mobutu.--Papa6 10 juin 2006 à 16:36 (CEST)[répondre]

Bonjour, Est-ce qu'il ne serait pas bon de créer une page de redirection pour ceux qui tapent "Zaire" sans le tréma ? Je pense aux lecteurs qui n'ont pas forcément un clavier azerty. --Papa6 10 juin 2006 à 16:36 (CEST)[répondre]

C’est une bonne idée. J’imagine que le pour est plus intéressant que le contre. --moyogo ☻☺ 12 juin 2006 à 01:00 (CEST)[répondre]
Chose dite, chose faite (j'étais hésitant concernant les règles de WP)--Papa6 12 juin 2006 à 17:11 (CEST)[répondre]

LE ZAÏRE ORIGINEL

Le vocable Zaïre / était bien ingénieux, Portugais baptisèrent / de ce nom le pays, Ensuite peu après / son fleuve majestueux, D'où énergie abonde / du fait qu'il en jaillit Une fortune immense : / un bien très judicieux.

Voltaire qui écrivit / la tragédie " Zaïre ", Très mystique, mythique / et même très tragique, Amalgame de thèmes / fort divers pour finir, Racontant des énigmes / parmi les plus magiques Humanisant contrées / et terres magnifiques.

L'origine du mot / étant bien plus étrange, Abranchess décida / de devoir s'y brancher, Pour révéler un fait / qui maintenant dérange: Vérité bien cachée / mais désormais crachée, Afin qu'incertitude / soit à jamais tranchée.

La Nation ZAÏRE / suivant sa trilogie, D'une notion disant / toute son apologie Flot grondant tel lion / quand celui-ci mugit Portugais de l'invite : / "A-Zaïra " resurgit. Zaïre terme Arabe / quelle sublime magie.

Ainsi peut s'expliquer / d'où mot Zaïre provient, Que les Lusitaniens / en lui donnant valeur Conquérants musulmans / en sont-ils les auteurs ? Mot tiré du berbère / d'un langage divin, Aux sons bien enchanteurs / dont ils étaient porteurs.

Fleuve Lualaba / à sa source katangaise Dorsale nationale / tout au long de son cours. Durant ce grand parcours / enrichit tour à tour De nombreux riverains / avec noms sans détours Le Nzadi-a-Kongo / pour moi est un malaise.

Pourquoi avoir choisi / syllabes frustrantes Con-Go ? à trilogie / Zaïre plus percutante ! La confusion persiste / pour deux Congo autant Zaïre n'étant-il pas / un nom plus conciliant ? Et surtout ainsi mieux / et bien plus édifiant

J' OSE ABRANCHESS


TEXTE EXPLICATIF pour faciliter la compréhension du poème. Poème qui lève le quiproquo, le dilemme et la polémique de l'origine du mot Zaïre.


Le poème a été écrit dans le souci de faire la lumière sur l'origine du mot Zaïre. La recherche fut laborieuse. En cause la rareté d'emploi du terme en français. N'ayant pas trouvé un livre faisant mention de l'origine du vocable, j'ai essayé sur Internet sans rencontrer satisfaction, si ce n'est que des références aux appellations du pays, fleuve et titres de livres ou pièce de théâtre de Voltaire. Aussi, ais-je orienté ma démarche autrement. D'autres horizons ont été scrutés.


Sur le récit racontant que l'origine du mot Zaïre viendrait d'une déformation du mot Bakongo " Nzadi-a-Kongo " par les navigateurs Portugais, qui demandant le nom du fleuve aux autochtones du lieu, l'auraient reçu en réponse. C'est faux ! Il serait bon de se poser la question : pourquoi alors appelèrent-ils d'abord le fleuve Poderoso dont la traduction du Portugais signifie Puissant  ? Bien que plus tard sur leurs cartes, ils mentionneront partout Rio do Zaïre , tout en nommant l'ensemble du pays par le vocable Zaïre, ainsi qu'une partie du territoire de l'Angola. Pourquoi se seraient-ils trompés ou ont-ils eu du mal à bien prononcer seulement ce nom ou mot là ? Sans pour autant avoir difficulté à bien d'autres aussi peu habituel pour eux. Exemples : « Nkuwu a Ntinu » , « Muzinga a Mpanzu », « Ndo Luvwalu » ..... Dans leurs pérégrinations aux antipodes de la terre les Portugais ont le plus souvent baptisé les lieux qu'ils découvraient par des noms à eux. Ainsi par exemple la première capitale du pays fut appelée : Sâo Salvador du portugais Saint sauveur . Cette question est plutôt bizarre. C'est très courant que des étrangers fassent ce genre de confusions linguistiques. Appeler le fleuve dans leur langue n'aurait pas renseigné leurs compatriotes sur le nom de ce fleuve par les habitants du pays qu'ils découvraient. Qui plus est ils n'ont pas eu de mal à prononcer que ce nom là: Nkuwu a Mutinu ne se dit pas, on dit Ntinu. De même on ne dit pas "Muzinga", mais Nzinga Ils ont remplacé la plupart des K par des tsh et largement rendu irreconnaissables des noms Kongo. Exemple, le "royaume" de Lovango=>Lwangu en Kikongo, etc. A ce propos, une erreur récurrente consiste à assimiler une province à un royaume: Luangu, Matamba, etc n'ont jamais été des royaumes mais des provinces, ou encore à assimiler le mot "Mani=législateur, juge, administrateur", à "roi=>ntinu". Ces erreurs sont tout à fait normales pour un peuple qui en découvre un autre. Les européens entre eux commettent des erreurs de sens, de traduction, de phonétique etc. Pourquoi cela serait-il différent quand ils rencontrent un autre peuple dont la langue n'a rien à voir avec la leur? Pour finir San Salvador n'a pas été baptisée par eux, mais par Nzing'a Mvemba suite à son intronisation (coup d'état) avec le soutien des portugais.

Dans les langues parlées actuelles un peu partout dans l'immense pays, on retrouve des mots d'origine Portugaise tel que : Sapato = chaussures, Messa=table...etc. et même des noms de famille tel que : Diasolua qui étrangement comporte trois syllabes typiquement Portugaises ! Diasollua avec un l de plus omis, se traduit exactement et indubitablement : Jour-Soleil-Lune (Dia-Sol-Lua) N'importe quoi! diasolua n'a rien à voir c'est une pure coïncidence, rien de plus! diasolua= dia: ce qui/celui qui solua= forme passive de "sola", qui signifie élir, choisir. Avant de dire pareilles inepties il vaut mieux apprendre les langues dont on veut parler. Si Nsampatu est bien un emprunt, meza est aussi une pure coïncidence.

Le fleuve qui prend sa naissance dans le sud-est du pays, plus précisément à Lualaba au Katanga pour remonter vers le Nord-Est jusqu'à Kisangani après être passé par le Kivu ( l'ancienne appellation de l'ensemble de la province ), et s'incurve vers le Nord-Ouest dans la province nommée Equateur, pour ensuite se mettre à descendre vers le sud-ouest du pays en longeant la province de Bandundu, frôlant la capitale du pays Kinshasa et Brazzaville ( capitale du Congo voisin ), pour ensuite tourner encore plus à l'ouest vers Matadi et Boma pour finir sa course en se jetant dans l'océan atlantique.


En situant le parcours de ce cours d'eau, long de 4.700 Km, avec un bassin de 3.800.000 de Km2, l'idée est de justifier son importance de vraie dorsale de ce grand pays, dont la superficie est de 2.345.000 de Km2, nous remarquons qu'il visite presque la majorité des provinces, à l'exception de deux Kasaï. Ce qui fit sauter la définition incorrecte du présidant Mobutu qui magistralement se goura en disant : « Est Zaïrois tout riverain du fleuve Zaïre. ». Sa très mauvaise connaissance de l'hydrographie de son Pays, aurait fait des Kasaïens, des étrangers de cette grande nation dont ils sont pourtant les ressortissants les plus crédibles, vu la position centrale de leur province.


Voir à ce propos un texte de Emilie Flore Faignond, née d'un père Franco-Congolais et d'une mère Belgo-Zaîroise, tiré de son recueil de poésies « MEANDRES » » , Mariée à un Belge et mère de famille de quatre enfants Emilie Flore Faigond a passé son enfance entre le Zaïre et le Congo, bercée par le concerto du majestueux fleuve dont les flots d'argent baignent les deux pays chers à son coeur. Ce fleuve tant aimé dont le nom chante souvent dans ses poésies qui sont un hymne à l'Afrique, un hommage à la langue française qui vibre au bout de sa plume. Métissage des cultures, du sang, de l'amour ont donné naissance à ce recueil de poésies « MEANDRES » préfacé par l'archevèque Laurent Monsengwo Pasinya.


La même démarche, de ma part, a pour but de démontrer l'absurdité de donner au fleuve le nom d'une contrée ( Congo / Kongo ) se trouvant en fin de son si long parcours. Pourquoi ce privilège ? Il est sûr qu'avant la venue de l'homme blanc dans ce pays, les Katangais, les Kivusiens, les Kisanganiens, les habitants de l'Equateur et du Bandundu ne nommaient nullement leur fleuve « Congo » ! Il était plus judicieux de créer une neutralité avec « Zaïre » ! C'est un raisonnement inepte. En gros "on préfère être nommés par un étranger, qui se trouve curieusement nous avoir réduit en esclavage et envahi, que par un voisin".

Personne n'avait le monopole de l'appartenance du terme d'emprunt « Zaïre ». Ce mot est inconnu de toutes les langues vernaculaires et véhiculaires du pays. Oui, le vocable « Zaïre » est bel et bien étranger puisque importé de l'Arabe ! C'est dans la langue Arabe où il trouve son origine tel quel et ses variantes ! Le patronyme « Zaïre » est dénombré chez plusieurs ressortissants musulmans. Quelques significations lui son attribuées. Zaïr / Zaïre . (transcription approximative de l'écriture arabe) le rugissement puissant du lion, pouvant s'apparenter au tonnerre de l'orage, des chutes et cascades... A-Zaïra l'invitation à la rencontre d'une personne et bien mieux encore, Zahïr aux synonymes élogieux d'ambition, de dévotion et d'obsession. Il faut prouver cela. Une ressemblance phonétique n'implique pas un empreunt. Il faut faire preuve de rigueur. Autant le nom de Nzadi s'explique historiquement, autant l'emprunt à l'arabe ne se tient absolument pas.

Tout comme Voltaire, un écrivain Brésilien très célèbre du nom de Paolo Coelho, s'est inspiré du mot pour titrer son roman Le Zahïr = clarté . Le premier invoque le conflit entre l'islam et le catholicisme, la différence des traditions, la conciliation impossible entre ces deux idéologies très opposées. Le second au moment de la parution de son livre explique : " Le mot Zahïr , provient, selon l'écrivain Argentin Jorge Luis Borges, de la tradition Islamique signifiant visible , présent , qui ne peut passer inaperçu . Dans une interview, Coelho renchérira : « Le Zahïr peut être une personne, un travail, un objectif qui, au lieu de nous donner la joie de tenter de l'atteindre, nous détourne vers une obsession maladive. Malheureusement, tout le monde passe par cette expérience. » A la question, qu'est-ce qu'un Zahïr ? il répondra : « Zahïr, en Arabe, veut dire visible, présent, qui ne peut passer inaperçu. Un objet ou un être qui, une fois que nous l'avons rencontré, finit par occuper peu à peu notre pensée, au point que nous ne parvenions plus à nous concentrer sur rien. On peut considérer cela comme la sainteté ou la folie. »

Une autre similitude entre l'oeuvre de Voltaire et celle de Coelho fait dire à un commentateur, s'agissant de ce dernier : « ... par son livre Le Zahïr, Paolo Coelho revisite mythes antiques et traditions lointaines pour évoquer les thèmes de la quête de l'amour, de la femme éternelle, du pèlerinage, de la recherche de soi et des origines de la croyance. » La tragédie de Voltaire est plus invocatoire.


Dans la pièce de Voltaire planent mystères et énigmes presque insondables. Lui-même bien avant de s'atteler à écrire la pièce Zaïre avait dit suite aux critiques de l'ensemble de ses oeuvres que cette fois-ci, il allait se surpasser et créer un chef-d'oeuvre qui devrait laisser tout le monde pantois. Ce fut le cas. C'est ainsi qu'il usera de plusieurs thèmes mélangeant divers sujets comme dit plus haut pour Coelho : mythes antiques, tradition, amour, croyance etc...


L'envie ne lui aurait-il pas pris de s'inspirer de cette contrée d'Afrique centrale si lointaine, si mythique décrite par des légendes diverses, par des récits des conquérants Arabes et Portugais, terre que les premiers essayèrent d'islamiser et que les deuxièmes christianisèrent, pour humaniser cette terre " Zaïre " et en faire le personnage féminin clé de sa tragédie ? Une métamorphose Terre-Etre. Voltaire, écrivain du 18ème siècle en quête d'une histoire confrontant deux religions antagonistes, recherchant l'expansion de leur culte et l'extension de leurs territoires sur une terre neutre où ils pratiqueront l'esclavage à outrance, ne se serrait-il pas inspiré de cette contrée portant depuis 1483 ce nom étrange de Zaïre, lors de sa découverte par les Portugais ? Nom Arabe chez les non Arabes.


Je n'irai pas jusqu'à affirmer que Voltaire dans sa trilogie invoque la terre Zaïre mais le fait que pas moins de 15 villes aussi éloignées les unes des autres et faisant parties du Moyen-Orient, de l'Asie, de l'Europe et de l'Afrique ( Jourdan, Jérusalem, Syrie, Damas, Sion, Chypre, Solyme, Gange, Césarée, Arabie, Bouvine, Scythes, Paris, Seine, Nil, Egypte, Soudan ) soit citées dans l'oeuvre, pourrait permettre de supposer que le génial écrivain Voltaire, aurait pu aussi bien imaginé métamorphoser une terre en être humain pour créer l'intrigue et ainsi rendre sa pièce plus piquante et mystérieuse.

L'oeuvre de Voltaire pouvant permettre diverses interprétations, je me suis intéressé à en tirer quelques passages pour les transposer sur les réalités du moment touchant la nation Zaïroise. De la même façon que le font les religieux avec la Bible et le Coran.

- « Je ne m'attendais pas jeune et belle Zaïre, aux nouveaux sentiments que ce lieu vous inspire » ( Ces richesses suscitent des sentiments de convoitise et de jalousie aux étrangers, aux autochtones, le sentiment de fierté de l'avoir pour eux )

- « Quel espoir si flatteur, ou quels heureux destins de vos jours ténébreux ont fait des sereins ?» ( les malheurs prendront fin tôt ou tard. L'après tumulte augurera un devenir et futur meilleur )

- « La paix de votre coeur augmente avec vos charmes. Cet éclat de vos yeux n'est plus terni de larmes ; vous ne les tournez plus vers ces heureux climats» ( les mères arrêteront un jour de pleurer leurs enfants pour enfin jouir et profiter de ces climats si agréables )

Vous ne parlez plus de ces belles contrées où d'un peuple poli les femmes adorées reçoivent cet encens que l'on doit à vos yeux compagnes d'un époux et reines en tous lieux, libres sans déshonneur et sages sans contrainte, et ne devant jamais leur vertu à la crainte. » ( éloges à la belle terre, aux hommes adorant belles femmes vertueuses, gracieuses, pulpeuses et courageuses. Reines dans tous les cieux. )

- « Puisse cette grandeur qui vous est destinée, qu'on nomme si souvent du faux nom de bonheur, ne point laisser de trouble au fond de votre coeur ! » ( la grandeur, la splendeur finiront par remplacer la stupeur. L'avenir radieux est envisagé et prophétisé. )

- « « l'instruction fait tout, et la main de nos pères grave en nos faibles coeurs ces premiers caractères que l'exemple et le temps nous viennent retracer, et que peut-être en nous Dieu seul peut effacer. » ( les acquis de la société traditionnelle Africaine sont ici loués mais l'actuelle société doit intégrer les connaissances modernes. )

- « j'atteste ici la gloire, et Zaïre, et ma flamme, de ne choisir que vous pour maîtresse et pour femme, de vivre votre ami, votre amant, votre époux, de partager mon coeur entre la guerre et vous. » ( le serment d'amour et de fidélité à sa terre Zaïre est magnifié et le patriotisme chevaleresque est exalté. )

- « Je vous aime, Zaïre, et j'attends de votre âme un amour qui réponde à ma brûlante flamme. Je l'avoûrai, mon coeur ne veut rien qu'ardemment ; je me croirais haï, d'être aimé faiblement. De tous mes sentiments tel est le caractère. Je veux avec excès vous aimer et vous plaire. » ( déclaration d'amour intense à la belle nation grandiose avec espoir de réciprocité généreuse et bienfaitrice. ) De tout ce charabiat, on ne tire aucun élément concrêt. C'est bien beau la poésie subalterniste, mais il faut un moment donné chercher des éléments concrêts, factuels et pas juste sortis de votre imagination.

Quand je parle des syllabes insultantes du mot Congo ; Con - Go cela est bien flagrant. Con étant non seulement défini comme stupide et inepte, mais bien plus grave encore car une autre définition plus désagréable lui est reconnue faisant allusion au sexe d'une femme, un sujet fort tabou pour toute société africaine. Et ce n'est pas seulement le son du mot, l'orthographe étant aussi respectée. La deuxième syllabe Go ( foutez le camp ! - partez ! ) n'est pas aussi louable, étant donné qu'il intime un ordre impératif. Ordre assujettissant, rendant personne dépendante. Le nom Kongo ne vient pas du français, on n'explique pas la morphologie d'un mot d'une langue par d'autres d'une autre langue. Bref, on utilise pas l'étymologie française pour expliquer un mot en Kikongo... Kongo est un nom particulièrement sacré chez les Bakongo et bien d'autres peuples et qui plus est, le phonétisme de cette langue ne correspond même pas à celui du français que vous donnez: selon vous: con + go, or, en kikongo et dans les langues de la région: Ko + ngo.

Décortiquons les syllabes du mot Zaïre ; Za - ïre que pourrait-on trouver ? En s'amusant peut-être deux significations en langues Bakongo et Anglaise : Nza et Here  ; l'association donne vient - ici belle invitation et qui est la même étrangement dans le parlé des musulmans « Zaïra » vient me visiter Pour l'Arabe, précédant au Zaïre le Portugais, celui-ci était : « Zaïra » visiteur . N'importe quoi...

Un grand nombre d'équipes de football s'inspireront de la puissance du lion, Le Congo/Zaïre Simba = lion ; le Cameroun Les lions indomptables  ; Le lion de l'Atlas surnom donné à l'équipe de football Marocaine par les Marocains eux-mêmes, en ce référent à la férocité et à la majesté du félin dont l'origine est des savanes sud-sahariennes, du Proche-Orient et de l'Inde. La connaissance de cet animal ne viendrait-il pas des pèlerins et voyageurs revenus de leurs périples ? Son cri tonitruant recevra de la belle langue Arabe le vocable Zaïr / Zaïre et les meilleurs qualificatifs de la langue : Zahir  ; " Clarté ", "Visible " et bien encore mieux :


AMBITION - OBSESSION - DEVOTION

Voilà comment les Portugais partis à la découverte du monde, rencontreront d'autres peuplades de surcroît musulmanes en premier, puisque séparés par très peu de Km du Maroc et feront ainsi connaissance avec bien d'autres vocables. De là, baptiser un fleuve puissant et rugissant comme le lion, un fleuve sublime d'un nom dont la signification est magnifique, ingénieux n'est-ce pas logique ?

Pas une seule seconde. Il n'y a rien de logique là-dedans. Si vous allez en Chine et apprenez le nom d'une ville, ou comment on dit ville, vous utiliserez soit le mot chinois comme vous le comprenez, soit un mot de votre langue, mais jamais un mot d'emprunt à l'Allemand ou au Japonais.

Qu'un magnifique Pays soit apparenté au cri tonitruant du plus majestueux des félins, roi incontesté des animaux et de la jungle, n'est-ce pas grandiose ? C'est votre opinion, mais cela ne prouve rien.

Qu'une belle Nation soit représentée et symbolisée en ZAHIRE ; " Fleur épanouie " ne serait-il pas plus éloquent ? Mobutu n'avait pas cela à l'esprit du tout et il n'y a jamais eu de nation zaïroise en tant que telle.

Le peuple consulté lors de la conférence nationale souveraine, n'avait-il pas fait son choix judicieux en tranchant sur l'appellation géniale ZAÏRE  ? ???

J'ose Abranchess