Enquêtes Joug et Lierre

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Les enquêtes Joug et Lierre sont les noms donnés à deux enquêtes, aujourd'hui conjointes, de l'Unité permanente anticorruption (UPAC) de la Sûreté du Québec débutées en 2014. Elles portent notamment sur le scandale de l'usine d'eau de Boisbriand et le rôle de la firme de génie-conseil Roche ainsi que sur un système illégal de prête-noms en lien avec des firmes de génie-conseil et des entrepreneurs pour le financement du Parti libéral du Québec[1].

Le , l'Unité permanente anticorruption procède à l'arrestation de la vice-première ministre libérale du Québec de 2007 à 2011 Nathalie Normandeau, le Ministre libéral de la Santé et des Services sociaux du Québec de 1989 à 1994 Marc-Yvan Côté, Bruno Lortie attaché politique de Marc-Yvan Côté et chef de cabinet de Nathalie Normandeau, l'ex-président et vice-présidente de Roche, Mario Martel et France Michaud, l'attaché politique la première ministre Pauline Marois, Ernest Murray et l'ancien maire de Gaspé François Roussy[1].

Contexte[modifier | modifier le code]

Enquête Joug[modifier | modifier le code]

Enquête Lierre[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Denis Lessard, Kathleen Lévesque et Martin Croteau, « L'UPAC arrête d'ex-membres influents du PLQ dont Nathalie Normandeau », La Presse, 17 mars 2016

Annexes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]