Massimo Quarta

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Massimo Quarta
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Massimo Quarta (né en à Bournemouth) est un violoniste italien.

Biographie[modifier | modifier le code]

Massimo Quarta étudie le violon avec Béatrice Antonioni à Sainte Cécile de Rome, puis avec Salvatore Accardo, Ruggiero Ricci, Abram Shtern[1] et Pavel Vernikov. En 1991, il est le premier italien après Salvatore Accardo, en 1958, à remporter le concours Paganini de Gênes. Depuis, il a entamé une carrière internationale qui l'a amené à jouer dans des salles prestigieuses, notamment à la Philharmonie de Berlin, à la Salle Pleyel, au Théâtre du châtelet à Paris et au Metropolitan art de Tokyo. Il s'intéresse également à la direction de l'orchestre et est professeur au Conservatoire de la Suisse italienne à Lugano[2].

Il joue notamment sur le violon de 1702 d'Antonio Stradivari Conte de Fontana ayant appartenu à David Oïstrakh et un autre violon de Stradivarius, Maréchal Berthier – ex von Vecsey fabriqué en 1716[1].

Discographie[modifier | modifier le code]

  • Paganini, Concertos pour violon, Adagio (inédit) - Orchestre du théâtre Carolo Felice de Gênes ; Massimo Quarta, sur le Guarnerius « Il Cannone » et direction (1999/2002, 3CD Dynamic CDS450/1-4)[3] (OCLC 705328249 et 65284837)
  • Paganini, Sonate Napoléon, Variazioni su un tema di Weigl, Maestosa suonata sentimentale, Le streghe - Massimo Quarta, violon ; Stefania Redaelli, piano (22 et , Dynamic) (OCLC 43064646)
  • Paganini, 24 Caprices - sur le violon de Stradivarius, Maréchal Berthier – ex von Vecsey 1716 (8-, Chandos / Amadeus ) (OCLC 58565038 et 76006873)

Notes et références[modifier | modifier le code]

(it) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en italien intitulé « Massimo Quarta » (voir la liste des auteurs).
  1. a et b Livret du disque Chandos p. 17sur Chandos.net.
  2. (it) « Pagina non trovata », sur conservatorio.ch via Internet Archive (consulté le ).
  3. Lors de sa sortie ce disque a été distingué par Costin Cazaban, d'un « Choc » dans le magazine Le Monde de la musique no 283, janvier 2004, p. 83–84.

Liens externes[modifier | modifier le code]