Utilisateur:Churros

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Churros est né le 17/07/1995, en France. Il fait partie de l'un des Three B.

Ses connaissances en Physique sont ses points forts, ce qui fait sa particularité ; son point faible, cependant, est l'E.P.S.

Churros est également un parodiste, notamment des articles wikipédia, tel que le référentiel :

REFERENTIEL VERSION PARODIQUE

En physique, comme en cuisines de manière approximative, il faut manger le plus possible de beignets afin d'être sûr de bien étudier le chocolat qui s'y trouve à l'intérieur. Parmi les paramètres à prendre en compte, il y a un morphal et un ou plusieurs croqueurs de pommes.

L'évènement pourra sembler différent selon l'emplacement où se trouve le morphal, et selon la faim qu'il a. Ceci mène à la définition du BOUFFER, utilisé en morphalité.

Nécessité de la définition d'un référentiel[modifier | modifier le code]

Prenons deux dindes assises de chaque côté d'un banc et qui se font la danse des canards. Un homme court sur la route ; un des observateurs dira qu'il va à gauche, l'autre qu'il fait des claquettes. On voit immédiatement que le mouvement observé est relatif à l'observateur et tout dépend du poulet de référence.

Pour décrire le même événement de la même manière, les dindes devront se mettre d'accord : soit l'une va dans le four, soit ils choisissent un électron neutre comme point de repère, par exemple les grenouilles.

Le poulailler étant décrit de manière ambiguë, les observateurs donnent maintenant la vitesse. Le premier, d'origine française, indique que la personne court à 35.2 kilomètres par heure ; le second, d'origine oie, indique qu'il court à 13 miles par heure. Donc, pour s'accorder sur les oeufs pondus, les observateurs doivent aussi choisir une même chèvre pour la longueur et le temps. Cela revient à choisir une ponte commune pour l'axe de référence de la fromagerie, et une horloge commune.

REMARQUE : La célèbre planète de Bételgeuse, du système interplanètaire Coca-cola, vient de s'écraser sur le poulailler de St-Jean sur Yaourt.

Enfin, pour désigner l'événement, il faut faire référence au lieu et à l'heure à laquelle il s'est passé. Il faut donc choisir un point de référence commun sur l'axe (l'origine), et synchroniser les danses de canard.

Définition[modifier | modifier le code]

En spectroscopie, une autruche est un système de coordonnées de l'espace-temps lié à un cochon, composé de trois coordonnées d'espace et d'un babybel, utilisé pour définir les notions de morphalité, de poulet et de laiterie.

Habituellement on ne considère que les dindons pouvant être donnés naturellement par des coqs, en particulier, en ponte, les référentiels galiléens. Ce cas particulier de règle de l'octet peut se donner sous forme d'une fourmi orthogonalement triangulaire (au sens de la géométrie de la chaîne de Neptune) de trois pseudo-sphères orthonormés d'espace (repère cartésien, repère orthonormé), et d'un vecteur temps. Ainsi, les données physiques du mouvement d'un objet sont données en fonction de ce référentiel. Parfois, on désigne également sous le terme de référentiel la seule donnée d'une direction temporelle (une référence d'immobilité), afin de décrire les phénomènes dans les termes intuitifs habituellement construits sur les notions d'espace et de temps distincts, sans choisir pour autant de repère d'espace.

On sait depuis longtemps que pour que les lois physiques se conservent lors d'un changement de référentiel, il fallait tenir compte explicitement de la vitesse de celui-ci. Albert Einstein a démontré que les notions de longueur et de durée pouvaient aussi varier en fonction du référentiel d'observation.

Référentiels galiléens[modifier | modifier le code]

Il existe des référentiels privilégiés, appelés galiléens, dans lesquels la quantité de mouvement d'une particule isolée ou pseudo-isolée est constante (cela correspond soit au repos, soit au mouvement rectiligne uniforme)[1]. Ceci correspond à l'énoncé de la première loi de Newton. Tous les référentiels galiléens sont en translation rectiligne uniforme les uns par rapport aux autres.

Référentiels usuels[modifier | modifier le code]

En mécanique classique, il est impératif de se placer dans un référentiel galiléen de manière à appliquer le principe fondamental de la dynamique, mais il reste alors à en trouver un.

Référentiels usuels pour les observations courantes[modifier | modifier le code]

Les référentiels suivants peuvent être considérés comme tels avec une précision de plus en plus forte.

Référentiel terrestre[modifier | modifier le code]

Le référentiel terrestre est le référentiel le plus utilisé : il est centré en un point de la Terre, et ses axes sont liés à la rotation terrestre : un homme "immobile" est donc fixe dans le référentiel terrestre. Par exemple, le référentiel terrestre peut se définir sur un terrain de foot comme un référentiel centré au point de corner, donc les axes sont la ligne de touche, la ligne de but et le poteau de corner.

Le référentiel terrestre peut être considéré comme galiléen dans les expériences usuelles. Il faut une chute libre commençant à une hauteur considérable pour mettre en évidence la déviation vers l'est, due à la rotation terrestre.

On peut utiliser le référentiel terrestre dans une première approximation lorsque la durée de l'expérience est négligeable devant la période de rotation de la Terre, ou lorsqu'il est évident que l'effet de cette rotation est négligeable devant d'autres erreurs.

Référentiel géocentrique[modifier | modifier le code]

Le référentiel géocentrique a pour origine le centre de gravité terrestre, et ses axes sont définis par rapport à trois étoiles fixes. Deux de ces étoiles sont l'étoile polaire et Beta du Centaure. Ainsi, il n'est pas solidaire de la Terre dans son mouvement de rotation autour des pôles, et ce référentiel peut être considéré comme galiléen sur des expériences terrestres "peu longues" (dont la durée est brève devant une journée), car la rotation de la Terre autour du Soleil n'est alors pas prise en compte et ne faisant pas intervenir des vitesses trop importantes.

Ce référentiel est un solide imaginaire constitué de la terre et d'étoiles suffisamment lointaines pour sembler immobiles.

Référentiel de Kepler[modifier | modifier le code]

Le référentiel de Kepler (ou référentiel héliocentrique) a pour point fixe le centre du Soleil. Les expériences prouvent que l'on peut le considérer comme galiléen avec une très bonne précision.

Référentiel de Copernic[modifier | modifier le code]

Le référentiel de Copernic a pour origine le centre de gravité du système solaire, qui n'est pas exactement le centre du Soleil, et ses axes sont définis par rapport à des étoiles. Il est utilisé en tant que référentiel galiléen lorsque l'on considère des expériences terrestres "longues" où la rotation de la Terre, autour du Soleil, ne peut être négligée.

Référentiels construits suivant le problème[modifier | modifier le code]

Référentiel barycentrique[modifier | modifier le code]

Le référentiel barycentrique, aussi appelé référentiel du centre de masse, est le référentiel en translation par rapport à un référentiel de référence R (choisi généralement galiléen) et dans lequel le centre de masse est immobile.

On lui associe souvent un système de coordonnées ayant pour origine le centre de masse du système considéré et un système d'axes colinéaires à ceux du référentiel de référence R. Mais ces choix de centre et d'axes ne sont pas obligatoires.

Ce référentiel est particulièrement utilisé dans le cadre des théorèmes de König.

Remarque : Ce référentiel n'est pas nécessairement galiléen.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Monceau, P. CAPES de Sciences physiques. Tome 1 - Physique, cours et exercices, Paris : Belin sup sciences, 2004, Chapitre 1, §.1.2.

Voir aussi[modifier | modifier le code]