Sonate K. 549
Sonate K. 549 ut majeur — , Allegro, 108 mes.
⋅ K.548 ← K.549 → K.550 ⋅ L.500 ← L.S.1 → L.S.2 ⋅ P.552 ← P.553 → P.554 ⋅ F.499 ← F.500 → F.501 —
⋅ XV 35 ← Parme XV 36 → XV 37
⋅ I 83 ← Münster I 84 → I 85
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La sonate K. 549 (F.500/L.S.1) en ut majeur est une œuvre pour clavier du compositeur italien Domenico Scarlatti.
Présentation[modifier | modifier le code]
La sonate K. 549, en ut majeur, notée Allegro, forme une paire avec la sonate précédente, aux allures de toccata. Scarlatti impose des trilles qui nécessitent une indépendance des doigts, comme les trilles dans les accords de la K. 541[1], qui soutiennent des progressions ascendantes de valeurs longues, avec appoggiatures. Giorgio Pestelli la traite de renaissance de la toccata.
Manuscrits[modifier | modifier le code]
Le manuscrit principal est Parme XV 36 (Ms. A. G. 31420) copié en 1757 ; les autres sont Münster I 84 (Sant Hs 3964) et Vienne D 34 (VII 28011 D)[2].
Interprètes[modifier | modifier le code]
La sonate K. 549 est défendue au piano, notamment par Sergio Monteiro (2019, Naxos, vol. 23) ; au clavecin par Scott Ross (1985, Erato)[3], Richard Lester (2005, Nimbus, vol. 7) et Pieter-Jan Belder (Brilliant Classics, vol. 12).
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Chambure 1985, p. 235 (177).
- Kirkpatrick 1982, p. 474.
- Victor Tribot Laspière, « Au Château d’Assas, sur les traces de Scott Ross et de Scarlatti », sur France Musique, (consulté le ).
Sources[modifier | modifier le code]
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Ralph Kirkpatrick (trad. de l'anglais par Dennis Collins), Domenico Scarlatti, Paris, Lattès, coll. « Musique et Musiciens », (1re éd. 1953 (en)), 493 p. (ISBN 978-2-7096-0118-4, OCLC 954954205, BNF 34689181).
- Alain de Chambure, « Domenico Scarlatti, Intégrale des sonates — Scott Ross », Erato/Éditions Costallat (2564-62092-2 (livret : 2292-45309-2)), 1985 (OCLC 891183737).
Liens externes[modifier | modifier le code]
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